1. Les récits de Caroline - Premiers émois (1)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: Trash,

    ... installe-toi". Je pris place à quatre pattes, les yeux rivés sur la caméra en face de moi et j’écoutais docilement les ultimes consignes. — "Surtout tu ne quittes pas la camera des yeux. C’est le plus important" … — "On ne fait qu’une prise, cela dure en général entre sept et douze minutes, j’essaie de ne pas faire durer trop longtemps". … — "Tu te souviens: On ne fait pas de pause, tu ne me dis pas "moins vite", "attends" ou des trucs comme ça: l’idée c’est tu subies et c’est tout" … — "Évidemment si tu veux, on arrête mais c’est définitif; On ne fait pas de raccord ou de deuxième prise" Je me sentais mouiller comme une femelle indigne en entendant ces horreurs, j’étais vraiment dingue. — "Je ne suis pas un bourrin mais ce sera quand même hard par moment. Tu es toujours d’accord ? Si tu veux on peut en rester là, il n’y a pas de problème. Il vaut mieux ça plutôt que tu te mettes à pleurer ou que tu fasses une crise au bout de trois minutes" — "Ça ira" Des réponses monosyllabiques ou quasiment, c’était le mieux que je pouvais faire. — "Je vais me mettre à poil et un peu me préparer. On démarrera juste après. D’accord ?" — "Oui" -" Tu te souviens des questions que je vais te poser et de ce que tu devras répondre ?" — "Oui" Il se déshabilla, sauf ses chaussettes bleues foncées et il commença à se branler devant moi en me regardant dans les yeux. C’était horriblement gênant. Il fit ensuite le tour du canapé sans doute pour améliorer son érection en regardant mes fesses. Mon ...
    ... voisin n’était pas un Apollon, il devait avoir vingt-cinq ans de plus que le type le plus vieux avec lequel j’avais couché mais étonnement il ne me répugnait pas. Il ne me plaisait pas mais j’avais envie d’être là avec lui, j’avais envie qu’il se serve de moi comme d’un jouet, qu’il me brutalise "un peu". Ce qui m’avait toujours manqué avec les autres c’était cela: Ce côté glauque, humiliant et un brin extrême. Devais-je m’autoriser ces plaisirs sales ou me lancer avec un psy dans dix ans d’analyse ? Je n’en savais rien mais j’allais bientôt avoir la réponse. Sa queue était érigée, c’était effectivement la plus volumineuse que j’aie vu en vrai mais elle n’avait rien de monstrueuse. A mon grand soulagement, elle me semblait même un peu moins large que le gode que j’avais eu tant de mal à accepter. — "Caroline, tu veux que je vienne déjà en toi pour que tu essaies de t’habituer sans la caméra ?" — "Je... non... ça ira" — "Comme tu veux, c’était pour toi.... On va y aller. Prête ? — "Oui" — "Alors on y va" Il déposa une grosse noix de lubrifiant à l’entrée de mon rectum, ce qui me fit sursauter puis il badigeonna sa verge également. Après cela, il se plaça hors cadre pour me faire un signe "3,2,1" avec ses doigts avant de démarrer les caméras. Comme pour la scène d’introduction, j’avais appris mes répliques part cœur. La récitation pouvait commencer: — "Nous retrouvons la jolie Caroline" — "Coucou" — "Tu es toujours aussi jolie ; peut-être même encore plus maintenant que je te vois ...
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