1. Les récits de Caroline - Premiers émois (1)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: Trash,

    ... peu particulier. Il raconte l’expérience qui m’a vraiment fait comprendre que je ne suis pas comme les autres femmes. J’avais 22 ans à l’époque et je terminais mes études; C’était en Avril et je vivais encore chez mes parents. En regardant par la fenêtre de ma chambre d’adolescente, je vis, comme souvent, une jeune femme sortir de chez notre voisin. L’inconnue devait avoir quelques années de plus que moi et elle avait le regard triste. C’était une jolie fille mais j’avais l’impression de distinguer des larmes discrètes couler de ses yeux rougis. Cela faisait deux ans que cela durait, Monsieur Cloturo était divorcé et vivait seul la plupart du temps mais régulièrement des femmes venaient le rejoindre. Elles étaient trop jeunes pour un type qui devait avoir 45 ans et trop jolies pour son physique aussi anodin qu’enrobé. Elles n’avaient pas non plus des allures de prostituées bien que cela aurait été l’explication la plus logique. Certaines repartaient la mine déconfite alors qu’il en raccompagnait d’autres qui plaisantaient avec lui jusqu’à son portail. J’étais intriguée, certaine qu’il se passait quelque chose de louche à quelques mètres de chez moi. Ce jour-là en voyant la fille aux yeux embués, ma curiosité l’emporta. Je descendis les escaliers quatre à quatre et je courus jusqu’à la voiture vers laquelle la jeune femme se dirigeait. — "Mademoiselle, tout va bien ? Vous avez l’air bouleversée ?" Elle était surprise que j’ai fait irruption de la sorte mais elle me répondit ...
    ... tout de même. — "Non ça va. Je veux juste partir". J’en mourrais d’envie alors en montrant la maison de Geoffroy Cloturo, je lui demandais: — "Et je.... Il se passe quoi là-bas ?" Elle monta dans sa voiture en comprenant que je n’étais qu’une vilaine petite curieuse mais je tambourinais à sa fenêtre. — "Non mais ça ne va pas !? Vous allez casser ma vitre" — "S’il vous plait. Dites-moi! C’est mon voisin quand même" Elle me lança un regard triste. — "Il fait des vidéos" — "Il a un site ? Comment ça s’appelle ?" J’entendis la réponse en même temps qu’elle accélérait. — "Le regard perdu" Il était évident qu’il s’agissait d’un truc malsain. Je brûlais de curiosité, c’était forcément glauque mais je voulais découvrir jusqu’à quel point. "Le regard perdu", Avec un nom pareil je mis un peu de temps à trouver mais je tombais finalement sur le site en question. On ne voyait pas grand-chose sur la partie gratuite mais on comprenait le principe répété lors de chaque séquence filmée: Une jeune femme était installée à quatre pattes sur un large canapé, elle fixait une caméra face à elle puis un homme, mon voisin apparemment, venait se placer derrière elle. Les deux protagonistes ne s’adressaient pas vraiment la parole mais pendant plusieurs minutes la fille grimaçaient sous les coups de reins de son partenaire, le regard plongé vers l’objectif qui immortalisait la saillie en cours. En haut à gauche de l’image, en incrustation, un plan sous un autre angle montrait que c’était une pénétration ...
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