1. Les récits de Caroline - Premiers émois (1)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: Trash,

    ... vraiment brutal, c’était un mauvais moment à passer mais il m’avait dit que cela ne durerait pas plus de cinquante secondes. Cela peut sembler court mais sur l’instant ce n’était pas mon sentiment. Je laissais les cris sortir de ma gorge et couvrir le claquement de nos peaux à chaque fois qu’il butait en moi. Il me défonçait littéralement, j’avais mal, cela me brûlait, j’étais morte de honte mais l’intérieur de mes cuisses était trempé. Je comprenais que j’avais toujours voulu cela. Bien sûr pas à chaque rapport ni même régulièrement mais j’avais besoin que ce genre de choses fasse partie de ma vie. Je me laissais souiller, je me laissais baiser comme une traînée; J’en avais la tête qui tournait tant c’était excitant. Il me fallut un long moment pour prendre conscience des larmes qui avaient coulé sur mes joues et de la salive qui recouvrait mon menton. J’avais envie de me toucher tout en laissant mon partenaire continuer à profiter de moi; J’étais certaine que j’aurais joui instantanément mais malheureusement je n’en avais pas le droit, mes mains devaient rester bien à plat sur le canapé Deux fessées, une pénétration encore plus rageuse que les autres, un grognement. Le son de mon propre souffle qui se mêle à celui de mon tourmenteur. La douleur qui semble diminuer avant de revenir comme pour me punir d’être en train de me dire que je ne regrette pas d’être là. Les sensations nouvelles et révélatrices s’enchaînaient au rythme du clignotement du voyant de la caméra qui me ...
    ... faisait face. Assaillie par ces pensées que je ne contrôlais plus, je rouvris les yeux alors que les mouvements de mon amant devenaient plus tendres. Il me faisait beaucoup moins mal et de toute façon mon corps avait fini par s’habituer. Les premiers soupirs sortirent malgré moi mais je ne me retins pas lorsqu’ils revinrent à chaque fois que mon voisin s’enfonçait en moi. Je ne pense pas que je souriais, j’avais sans doute encore les sourcils froncés mais quelque chose avait changé. L’excitation dépassait enfin la douleur maintenant que le rodéo sauvage s’était achevé. Pour être tout à fait honnête je n’étais pas en train d’espérer que cela se termine vite, c’était même plutôt le contraire. Mon enculeur conserva le même rythme durant un moment dont je ne saurais pas vraiment dire la durée. Même lui devait être surpris des sonorités douteuses qui s’échappaient de mes lèvres. J’avais envie de parler, de souffler un "encore" comme une vraie garce mais je me tus, je n’étais pas encore prête pour cela. Un peu après cela, mon homme me chevaucha de nouveau; Il replongea ses mains dans mes cheveux avant de ruer au plus profond de mes entrailles. J’hurlais un grognement rauque mais déjà il recommençait à me défoncer. La pièce s’emplit de mes cris. Malgré les goûts étranges que je me découvrais, cette fois c’était vraiment trop, j’avais fait la maline et j’allais le payer. Mes gémissements, le choc de nos corps et les grognements de mon amant devenaient un brouhaha incompréhensible. Ma ...