1709 - Les Cinq-Bois
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
historique,
entrecoup,
... comparatif…— En effet… pensez-vous que nos femmes seraient d’accord ? Les mains sur les hanches, il soupire : — Avec les femmes, nous les hommes, nous ne savons jamais rien…— Oui, je reconnais que l’étude des champignons offre beaucoup moins d’aléas que celle des femmes ! Et le quatrième fourreau ?— Il faut de la gorge pour cela, et nos femmes n’en ont pas assez…— Je vois à quoi vous faites allusion… mais elles ont néanmoins de quoi pallier nos plaisirs et désirs !— Je vous le concède, François-Philippe, mais j’aime la chair, la chair débordante… Étonné, je lui fais remarquer : — Je ne vous comprends plus, Jean-Armand ! Pourquoi avoir épousé une telle frêle jeune femme ? Votre épouse ressemble nettement plus à une délicate poupée qu’à une robuste tenancière dont vous étiez fort friand naguère !— Moi-même, je ne me comprends pas bien. Les extrêmes s’attirent, dit-on… Et peut-être que nos femmes se doivent d’être différentes de nos maîtresses…— Pourquoi donc ? Auriez-vous une maîtresse quelque part ?— Même pas ! Sauf bien sûr des filles à soldat quand je suis à la guerre, il faut bien du réconfort après avoir tranché, coupé, éviscéré, mousqueté à tout va !— J’en ai su quelque chose… Depuis, je préfère nettement l’étude des champignons et surtout les jupons et corsages de ma femme… Soudain, Jean-Armand reprend du poil de la bête : — J’ai une proposition à vous faire !— Je suis à votre écoute…— Je vous fais une démonstration du troisième fourreau en échange d’un comparatif ...
... buccal. Je suis assez surpris de cette proposition. Il y a bien des années, elle ne m’aurait pas étonnée alors que nous étions tous les deux dans l’armée, mais là, il s’agit de nos épouses légitimes et non de filles à soldat ! Je le fais remarquer : — Jean-Armand, je vous signale qu’il s’agit de nos épouses…— Épouses, filles, catins, putains, ce sont toutes des femmes ! Ne me dites pas que vous contez chastement fleurette à votre Angeline ?— Loin s’en faut, loin s’en faut ! Mais vous savez comme moi ce qu’il en coûte à ceux et celles qui pratiquent le plaisir des bougres. Le dernier bûcher n’est pas encore tout à fait refroidi…— Ne me dites pas que vous ne passez jamais par là ? Vous me feriez largement rire, séance tenante !— Je ne dirais certainement pas le contraire… Vous avez raison, si ça reste entre vos murs, pas de souci, en effet… Et puis, ça fera une nouvelle leçon pour la chère Angeline !— Ah bon ? Une leçon ? Expliquez-moi donc cela… Je lui explique, ça l’amuse beaucoup. Une fois mon histoire achevée, il me donne une grosse bourrade dans le dos qui manque de me faire choir, et il s’esclaffe : — Sacré filou ! Ah la belle excuse du professeur et de son élève ! Et cette histoire de montagnes et de cimes dans un pays de plaine, c’est fabuleux ! Si j’écris un jour mes mémoires, faudra que je case cette historiette, sans mentionner qui, bien sûr !— En tout cas, ça marche très bien !— En tout cas, votre Angeline est une fieffée coquine ! Comme la mienne d’ailleurs ! Sur ce, il ...