1709 - Les Cinq-Bois
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
historique,
entrecoup,
... ouvre grand la fenêtre et hèle les deux femmes : — Mesdames, si vous vouliez nous rejoindre, je vous prie ! Puis il se tourne vers moi : —Alea jacta est, comme le dirait le grand Jules !—Alea jacta est… --ooOoo-- De retour du dehors, nos deux femmes sont à présent avec nous, dans le salon. Je m’approche de la mienne et je lui glisse à l’oreille : — Chère élève, voici venir une leçon non prévue, mais qui sera très profitable…— Vous… vous voulez dire quoi, par une leçon pas prévue, mais très profitable ? Durant ce temps, Jean-Armand s’entretient avec sa femme qui rougit. Les yeux grand ouverts, elle se tourne vers nous et bafouille : — Vous… vous êtes… vous êtes d’accord ?— Pour ma part, je le suis. Quant à Angeline, ce sera une agréable leçon. Henriette-Louise bredouille : — Ah… ah bon ? Qu’il en soit ainsi selon le désir de mon cher époux… Et aussitôt, sous le regard étonné de ma femme, elle relève tous ses jupons pour venir allonger son buste sur la table, les fesses délicatement blanches, encore plus mises en valeur par les bas et leurs rubans. De sa large main, Jean-Armand caresse ce mignon petit fessier et demande à Angeline : — Que pensez-vous du cul de ma femme, chère Angeline ?— Que c’est un beau cul, cher Jean-Armand…— C’est un beau et bon cul, je suis parfaitement d’accord avec vous ! Et que pensez-vous de ceci ? Sans sourciller, il révèle au grand jour sa grosse verge. Écarquillant les yeux, ma chère femme lui répond néanmoins sans ciller : — Vous avez là un bien ...
... beau vit, cher Jean-Armand…— J’en suis fort aise ! Vous plaît-il ?— Il ne me déplaît point…— J’en suis encore plus fort aise ! Voulez-vous y goûter ? Angeline se tourne vers moi, me questionnant du regard. Je lui murmure : — C’est vous qui décidez, selon votre propre plaisir…— Et Henriette ?— Son mari désire nous démontrer sa stupéfiante capacité à l’engloutir au plus profond.— Quoi ? Où ça ? Devant ? Derrière ?— Derrière… Elle s’exclame : — Mais c’est impossible ! Il a une telle épée et elle est tellement frêle que…— Il paraît qu’Henriette-Louise est coutumière du fait.— Franchement, là, je demande à voir ! Oh pardon !— Ne vous excusez pas, moi aussi, ma chère femme ! À petits pas, Angeline s’approche du couple. Elle interroge du regard sa nouvelle amie qui lui répond en souriant. Elle demande à Jean-Armand : — Vous souhaitez nous démontrer que votre énorme vit peut s’enfouir dans votre délicate femme ?— Je vous remercie pour le « énorme ». Croyez-moi ou pas, mais ma femme aime que j’entre en elle de la sorte.— Est-ce vrai, Henriette ? Toujours allongée sur la table, fesses nues, celle-ci répond, enjouée : — Oui, c’est vrai !— C’est un sacré morceau !— Comme vous vous exprimez, Angeline !— Chère Henriette, pour les joies de la bagatelle, j’ai appris qu’il faut savoir nommer un chat un chat ! J’ai eu pour cela un bon professeur !— Je n’en doute point… moi aussi…— Serions-nous deux gourgandines ?— Sans doute…— Dans ce cas, chère Henriette, puis-je me permettre une privauté ...