1. Un mal pour un bien


    Datte: 17/07/2018, Catégories: fh, fhh, 2couples, cocus, Collègues / Travail Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, attache, confession,

    ... C’est toi que j’aime… Je comprendrais que tu sois blessée. Je cesserai de la voir si tu me le demandes. Certaines vont penser que je suis « bonne poire » et que je pardonne bien facilement. Mais je le crois. Je l’aime toujours et je pense qu’il est sincère lorsqu’il me confirme son amour. Je n’ai même pas besoin de réfléchir avant de répondre : — Non, continue. Je comprends. Je préfère même que tu la reçoives chez nous. La seule chose que je te demande c’est de tout cesser dès que je redeviendrai ta véritable maîtresse. Je ne dirai rien à Hugo. Ce sera notre secret.— Hugo ! Mais son mari est…— Chut ! Je ne veux rien savoir. Voilà. C’est une sorte de pacte. Bien sûr, les lundis et les mercredis après-midi, il m’arrive de penser à ce couple qui baise dans ma chambre. Marc est un amour avec moi. Il est plein d’attentions et de délicatesse. Même lorsqu’il me fait l’amour, il est encore plus que d’habitude aux petits soins, et toujours abandonne un flot de salive près de ma fente pour compenser la sécheresse de mon vagin. Mais encore une fois le hasard va s’en mêler. Un samedi, alors que je fais un grand ménage dans notre chambre, je découvre une pochette. Sous notre lit nous avons, Marc et moi, chacun un grand tiroir dans lequel nous mettons un tas de choses : livres, documents, etc. Dans celui de mon mari, il y a aussi tous nos gadgets sexuels, du gode en passant par les œufs vibrants et toute une série d’accessoires accumulés au fil des années. Et c’est dans son tiroir que je ...
    ... découvre cette pochette que je ne connais pas. Et cette pochette contient elle aussi des accessoires ; des menottes, des liens, des bandeaux, deux plugs et aussi une boule qui est manifestement destinée à entraver une bouche. Cette découverte me choque, car cela signifie que Marc ne fait pas que baiser sa maîtresse. Manifestement les deux amants se retrouvent dans une communion de situation avec des jeux qui montrent un attachement que je crains trop fort. Dès le lundi suivant, je décide d’aller vérifier. J’entre discrètement. Là encore, des bruits proviennent de la chambre. La porte est presque à demi ouverte, mais heureusement le couloir est sombre et si je ne m’avance pas trop je resterai invisible. La surprise est telle que je me mords les lèvres. Ils ne sont pas seuls. Hugo, le mari de Maryse est présent. Il est allongé sur le lit, nu comme les amants, mais aussi je vois nettement que ses deux bras sont immobilisés par les fameuses menottes, elles-mêmes fixées aux barreaux de la tête de lit. À côté de lui, mais dans l’autre sens, Marc est en train de baiser la femme. Installés comme ils sont, Hugo a une vue imprenable sur l’intimité de Maryse que la belle bite bourre régulièrement. Cela n’a pas l’air de lui déplaire, car lui aussi bande de ce spectacle. Il faut dire aussi que pendant que Marc baise la femme, celle-ci caresse la bite de son mari et qu’elle ne cesse de parler. Décidément Maryse est une bavarde et manifestement ce n’est pas sans effet sur les deux hommes. Je ...
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