Un mal pour un bien
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
2couples,
cocus,
Collègues / Travail
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
attache,
confession,
... crois que, plus que les mots crus et orduriers, c’est son ton de voix qui frappe. Hugo semble apprécier alors qu’elle le rabaisse, lui disant que Marc est mieux monté, plus résistant, qu’il sait comment la faire jouir… Cela doit faire un moment que le trio s’active, car je vois bien que mon mari commence à donner des signes de faiblesse. Sa jouissance est en route. Il va déverser son foutre dans la matrice de Maryse. Celle-ci pousse des cris lorsque les jets lui lessivent le con. Le couple semble satisfait, repu, Marc restant bien au fond de la femme. Mais Maryse bouge. Elle retire le mandrin de sa grotte et plaque une main comme si elle voulait garder en elle le produit de son amant. Alors en deux, trois mouvements elle vient se placer sur le visage de son mari, accroupie de part et d’autre du torse et lui présente sa fente à lécher. — Goutte ! Allez, goûte son foutre. Aucune protestation de l’homme. Manifestement il est habitué de ce traitement. Tout est pourtant étrange dans cette scène. Je ne parle même pas de Marc qui s’est levé du lit et regarde le couple. L’homme, grand, musclé, si sûr de lui dans la vie, dominé par sa femme, petite chose fragile qui le chevauche comme une fine cavalière dompte un étalon. Mais c’est cette contradiction qui est troublante. Pendant un long moment, Maryse se tortille sur la bouche de son mari. Nul doute qu’il soit obligé, mais n’est-il pas demandeur de ce traitement, de lécher soigneusement la chatte, les coulures de foutre, les ...
... rigoles de jouissance de sa femme, mais aussi toute la raie des fesses et le petit trou du cul. Elle ronronne de plaisir. Il gémit. Et puis elle se penche. Je crois un instant que c’est pour, dans un 69 familial, aller sucer la queue de Hugo qui ne démérite pas dans sa belle érection. Mais en réalité c’est pour se saisir des chevilles de son mari, les attirer à elle et se redressant, les tirer vers le haut. Marc est bien sûr toujours là. Le mouvement de sa maîtresse lui donne maintenant une parfaite vue sur l’intimité du mari. Il suit du regard le mouvement des jambes qui s’élèvent et s’écartent dans un V montrant le sexe tendu reposant sur le ventre de l’homme. « Plus tard, je me souviendrai qu’à cet instant un trouble m’envahit. Plus exactement, c’est lorsque j’ai vu que Marc tendait la main vers cette queue pour la caresser, qu’une chaleur, que je croyais perdue à tout jamais, est venue me chauffer le ventre. » Oui, Marc caresse un homme. Pourtant lorsque nous avions abordé, il y a très longtemps, nos aventures avant de nous rencontrer, à mon aveu d’une aventure lesbienne il avait dit que jamais lui n’avait fait la moindre chose avec un homme, même dans sa jeunesse. Il branle doucement la bite, crachant plusieurs fois dans sa main pour l’enduire de salive. Je peux entendre le bruit caractéristique de la peau humide qui couvre et découvre la base du gland. C’est mon mari qui m’a appris ce mouvement et bien sûr il sait l’appliquer à un autre. Maryse ne bouge plus. Elle écrase ...