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Claude-Marie: Cahier 4
Datte: 18/07/2018, Catégories: Transexuels
... comme cela qu'une femme jouit.Jeudi 22 août 2002 Aujourd'hui, ma journée a commencé avec la frustration d'avoir mon amant qui ne veut plus baiser avec moi parce qu'il est convaincu que cela va détruire sa gestalt et ma copine qui est pressée d'aller travailler pour sa tante. Et puis il y a ma mère qui ne répond pas à mes appels. Je repense à dimanche dernier et je me sens en privation sexuelle. Je dois rencontrer Marina, mais seulement cet après-midi et ce matin monsieur Joseph m'a dit de prendre congé parce que je vais devoir travailler tard ce soir. J'essaie à nouveau de téléphoner ma mère. -- Mer-de! Elle ne répond pas. Au bureau, la téléphoniste me dit qu'elle n'est pas entrée ce matin. Elle ne sait pas où elle est. J'essaie de joindre Sarah, mais elle aussi plus n'est pas au bureau. Peut-être que ma mère a eu un accident. J'essaie de rejoindre Jessica, mais sa tante me dit qu'elle est occupée avec une cliente. Après une heure seule où je vacille entre être excité sexuellement et déprimé sans nouvelle de ma mère. Je pleure. Puis finalement, je décide d'aller à sa maison à la recherche d'indices même si ma libido est dans le plafond. Avant de partir, je prends une heure pour me préparer à être plus que passable. Je veux que les gens qui me regardent soient excités. Je veux les exciter. Ils annoncent de la pluie et du temps froid aujourd'hui. Au plus, il fera 20 degrés. Je choisis une robe blanche en coton. S'il pleut sur moi, la robe deviendra transparente. Et le froid va ...
... faire durcir mes mamelons déjà excités. Tout me semble parfait. Tout ne l'a pas été. À l'arrêt d'autobus, un homme vient directement vers moi. Il est bien habillé, mais visiblement pas très riche. Ses cheveux commencent à blanchir. Il me regarde de la tête au pied. Il sent l'alcool. -- Es-tu un de ces maudits trans? Je tremble devant lui. Je suis entouré de gens qui ne font rien pour m'aider. Il y en a qui regarde la scène amusée, d'autres qui passe sans s'arrêter. Mais il n'y a personne pour me sauver. L'homme fait un pas de plus vers moi. La drogue qui est en moi diminue mes inhibitions et mes réflexes. Je ne recule pas assez vite. -- On voit ta bite petit pédé. Il se penche sur moi, et me lorgne avec un regard courroucé. Incertain de la façon de répondre, je commence à babiller de façon incohérente. Personne ne vient me sauver. Puis il me crache en plein visage. Je me mets à courir en direction d'une boutique de lingerie féminine où je me réfugie pour me calmer. La drogue aidant, je suis calmé au bout d'une demi-heure. Pendant tout ce temps, je regarde et caresse de la dentelle fine avec la propriétaire de la boutique, une charmante dame de soixante-dix ans. Elle a vu ce qui s'est passé. Dans les secondes suivant mon arrivée, la dame m'a nettoyé le visage avec un mouchoir en soie. Une fois que je suis calmé, elle me donne accès à une petite pièce à l'arrière de sa boutique pour que je retouche mon maquillage. Quand je reviens à l'avant de la boutique, elle m'attend avec un ...