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Claude-Marie: Cahier 4
Datte: 18/07/2018, Catégories: Transexuels
... paquet dans les mains. -- Ne les laisse pas te traiter comme cela. Tu es magnifique. Il était saoul. Ce n'est qu'un salopard jaloux et frustré de surcroît. Je la remercie pour ses paroles réconfortantes et son cadeau. Je regarde à l'extérieur. Il n'y a plus foule. Et l'autobus arrive. Je repars en mission pour retrouver ma mère et trouver un moyen de passer ma frustration sexuelle. Quand finalement j'arrive à la maison, la porte avant est entrouverte. J'avance en appelant ma mère. La maison est silencieuse. Avec l'épisode de ce matin, je m'imagine le pire. J'avance jusqu'à sa chambre où je la trouve nue et attachée à son lit les pieds pointant vers moi. Elle porte de magnifiques escarpins rouges visiblement neufs. Elle ne me répond pas quand je lui parle. Je réalise qu'elle ne le peut pas. Elle porte ses cinq bracelets de cuirs rouges. Ses bras et ses jambes sont attachés à des barres, une qui écarte ses jambes, l'autre ses bras. Elle est couchée de travers dans le lit. Le collier dans son cou est attaché avec une petite chaine au lit. Cela la force à conserver la tête penchée vers le bas au bout du lit. Ses yeux sont bandés avec un foulard de soie rouge. Dans la bouche, attachée avec des sangles rouges, elle a une boule noire trouée qui fait office de bâillon. La balle contraste avec son rouge à lèvres très luisant. Un peu de bave s'échappe par les trous de la balle et coule sur ses joues. Elle porte un gros casque d'écoute qui lui couvre entièrement les oreilles. Quand je ...
... pense que je me faisais des scénarios dans lesquels elle était dans une situation difficile. Je ne peux m'empêcher de sourire à la vue de ma mère ainsi offerte. Mais mon sourire s'efface rapidement. Ma libido prend le dessus et je m'imagine maintenant plusieurs scénarios tout aussi torrides les uns que les autres. Je vois sa vulve qui est bien lubrifiée et luisante. Ses lèvres sont gonflées. Ses narines sont dilatées. Sa respiration est lente. Je la regarde la bouche ouverte. Je me dis qu'elle doit faire fichûment confiance à la personne qui l'a attachée ainsi. J'imagine que c'est Sarah, ou peut-être Mathis. Je suis envieuse. Pourquoi est-elle ainsi? Je la regarde. Ma queue déforme ma robe tant elle est tuméfiée. Je réalise que je l'ai même tachée, cela m'agace. Je décide de la toucher. Je m'approche lentement et délicatement je dépose le coin de l'ongle de mon index au-dessus de son pubis. Je fais glisser l'ongle jusqu'au-dessus de ses seins. Elle frissonne et semble vouloir protester. Elle fait des sons qui sont étouffés par la boule et tente de bouger. Je retire son casque et je lui parle à l'oreille. -- Bonjour maman. Elle proteste plus et se débat sans arriver à se libérer. Je retourne mon attention vers sa vulve. Je place mon index sur son clitoris gonflé. Elle se débat encore plus et chiale. Je remarque que de la cyprine blanchâtre coule entre ses fesses. J'en enduis mon doigt et je vais titiller ses mamelons qui pointent fièrement d'une main pendant que l'autre caresse ...