Claude-Marie: Cahier 4 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 4

... sont magnifiques. Sans plus de préliminaire, un des hommes plus âgés pointe sa queue sur la rosette de ma mère et il la pénètre violemment. Je vois ma mère se tordre de douleur. La femme qui est proche d'elle lui pince les mamelons et les tire au même moment. Un autre homme lui retire la boule qui entrave sa bouche. Ma mère se met à hurler. L'homme la frappe violemment au visage puis force sa queue dans la bouche de ma mère ce qui la fait taire. Mais, il pousse son membre trop loin. Ma mère se tord et tente de se reculer. L'homme prend ses cheveux et la force à garder la queue profondément en elle. Je vois son corps réagir, ses muscles se tendre. Il se retire puis la pénètre tout aussi violemment pendant que l'autre homme pilonne sans merci son cul. Cette fois quand l'homme se retire de la bouche de ma mère, elle dégobille un peu de liquide épais. L'homme la pénètre à nouveau et commence un mouvement de va-et-vient dans sa bouche. Il pénètre sa bouche comme si c'était son sexe. L'homme dans son cul se retire et asperge le dos de ma mère de son sperme. Il est immédiatement remplacé par un des jeunes. La femme s'est assise près de moi. Je voudrais aller sauver ma mère, mais les bandes me semblent peser une tonne. La femme me regarde visiblement heureuse que je lui obéisse. Un à un, les hommes prennent ma mère par le cul et la bouche à tour de rôle. Son corps est couvert de sueur. Elle vomit parfois un peu et crache dans le lit. Quand elle le peut, elle chiale. Mais jamais elle ...

... ne demande aux hommes d'arrêter. Ils viennent tous sur elle, jamais en elle. Ils couvrent son dos et ses cheveux de leur sperme. Ils ne se déshabillent jamais complètement. Puis au bout d'une heure, un des hommes fait signe aux autres et ils s'essuient en utilisant les cheveux de ma mère ou les draps du lit qui sont souillés et s'habillent avant de partir sans plus. La femme se tourne vers moi. -- Veux-tu profiter de ta mère? Je sais que tu es excitée. Je lui fais un air de dégout et signe que non de la tête. Elle se lève et va prendre une robe portefeuille de couleur champagne très mince, moulante et très courte. Elle défait les liens qui l'attachent au lit. Ma mère bave encore. Même si elle est libre elle ne bouge pas. La femme lui retire le casque puis le bandeau. Elle prend ma mère par un poignet et la guide hors du lit, devant moi. Elle ne cherche pas à essuyer la bave qui coule de son visage ni les larmes. Ses cheveux collent à son visage. Elle me regarde passivement. La femme lui tend la robe qu'elle met. Elle s'imbibe des liquides corporels et colle à elle comme une seconde peau. Ma mère place le décolleté pour qu'il s'accroche à ses mamelons découvrant une partie de ses aréoles. Maintenant que la robe est humide, elle est translucide. On voit clairement son sexe et ses seins. La femme vient vers moi et me donne la main en tenant le bracelet rouge. Elle prend ma main et la tend vers celle de ma mère. -- Mes chéries, vous devez avoir faim de manger et de sexe. Allez au ...