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Claude-Marie: Cahier 4
Datte: 18/07/2018, Catégories: Transexuels
... l'impression que je viens de gagner le loto. Je m'assois. Elle prend mes pieds et les attache mes chevilles à la chaise. Mais elle ne fait que deux tours morts autour de mes chevilles. Les bandes ne me retiennent pas du tout. Je n'ai qu'à bouger un peu et elles vont tomber au sol. La femme place mes mains sur les accoudoirs et dépose simplement deux bandes de tissus sur mes poignets. Encore une fois, je pourrais bouger librement. Mais il est clair que je dois voir ces entraves comme étant contraignantes. Ce sont des contraintes psychologiques. Elle s'assoit sur le coin du lit et me regarde. Elle soupire comme si elle était exaspérée avant de me parler. Elle pointe vers les bandelettes. -- Tu comprends que si tu retires une de ces attaches même par inadvertance, quelqu'un va devoir être puni. Je fais signe que oui avec la tête. -- Ta mère va recevoir six hommes dans les prochaines minutes. Elle est ici pour leur donner du plaisir, mais eux ne lui en donneront pas. Ils vont utiliser son cul et sa gorge. Ils ne toucheront pas à ses seins ou sa chatte. Tu sais qu'une femme qui se fait enculer n'en tire pas de plaisir contrairement à un homme ou une fille comme toi. Mes instructions sont de donner du plaisir à ta mère aujourd'hui ou... Elle marque une pause. --... si tu étais ici, ce qui est le cas, je dois veiller sur toi. Et je vais laisser ta mère souffrir sans lui offrir de plaisir. C'est la volonté de ton grand maitre et de votre maitresse. -- Connaissez-vous le grand ...
... maitre? -- Bien sûr. -- Qui est-il? Elle me regarde et me sourit. -- Mon mari. Je suis bouche bée, complètement sidéré. -- Et maintenant, tais-toi. Ne bouge pas. Regarde. Je vois que tu es déjà excitée. Profite du spectacle. Imagine-toi que c'est toi qui es là. Je vais accueillir les hommes, mais je vais veiller sur toi exclusivement. Je serre les lèvres. J'ai des questions et je voudrais me plaindre, mais je suis incapable de parler. Qui est cette femme? Je suis certaine de l'avoir déjà rencontré. Je n'arrive pas à me concentrer je suis tellement déconcertée et la drogue ne m'aide en rien. J'entends les pas des hommes qui arrivent. Ils sont six en tout, trois jeunes et trois vieux. Ils portent tous des cagoules et des gants. Dans un sens, je les trouve effrayants. Mais je sais que tout cela n'est qu'une mise en scène. La femme va aider les hommes à déplacer ma mère afin qu'elle soit solidement attachée à quatre pattes sur le lit sans lui retirer les entraves à ses sens. Je comprends que les cagoules ne sont pas pour ma mère, mais pour que les hommes ne puissent se reconnaitre entre eux. La suite se passe rapidement. Les hommes et plus particulièrement les jeunes hommes commencent par caresser ma mère. Ils lui caressent le dos, le ventre, les fesses, les seins et le visage. La femme noire fait signe aux hommes avec un soupir exagérément exaspéré. Elle se lève et va claquer un des jeunes qui caresse les seins de ma mère. Les hommes grommellent puis sortent leurs queues. Plusieurs ...