La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°825)
Datte: 18/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Fanny au Château – (suite) - Et Monsieur le Marquis lui tourna les talons sans un mot de plus, conviant la Duchesse à s’approcher du buffet. Fanny maintenant seule sur la piste de danse, agenouillée sur ce parquet éclate en sanglots, recroquevillée la tête sur ses genoux, les mains sur ses joues, ce sont de chaudes larmes qui mouillent son fin et beau visage. - Antoinette, je sais que vous appréciez mon Champagne 1957 avec une noisette de mon meilleur Caviar. Ce Caviar est un pur joyau, je le fais tout spécialement venir du meilleur producteur de Russie, venez vous délecter, vous m’en direz des nouvelles ! … Après quelques minutes où plus personne ne faisait cas de fanny, une plainte d’une grande douleur morale se fit entendre et tous se retournèrent dans sa direction située au centre de la salle. Fanny explosait de chagrin d’où ce hurlement qu’elle ne put contenir. Mais ce que tous remarquèrent, c’est qu’elle était debout, tête baissée à pleurer de plus belle. Les seuls mots sortant de sa bouche étaient : - Je ne peux pas…Je ne peux pas …. Le Marquis ne tarda pas à réagir et c’est avec des yeux de colère contenue et sans concession, qu’il s’adressa à Walter, sans regarder plus que ça la pauvre jeune femme : - Walter, prenez la Rolls et ramenez-moi tout de suite cette petite fantasmeuse à la gare. Elle n’a plus rien à faire ici. Mettez là dans le train et que je n’entende plus jamais parler. Puis le Marquis lui tourna le dos avec dédain, se remettant à discuter avec la ...
... Duchesse comme si rien ne s’était passé. Un brouhaha général de mécontentement de la foule suivit cette scène. Les commentaires allaient bon train. Walter s’approcha énergiquement de fanny. L’empoignant par le bras, il l’emmenait dans la pièce attenante prestement, pièce où on avait tout prévu pour ce cas de figure, car toutes les affaires de fanny étaient posées sur une chaise. - Habille-toi et ne traîne pas, dit Walter froidement tout en lui ôtant son collier et regardant sa montre. Il y a un train dans 45 minutes, la gare est à 10 kms, le temps que je te prenne ton billet au guichet, on n’a pas de temps à perdre. Il fallu quelques minutes à fanny pour qu’elle se retrouve habillée comme elle était arrivée et c’est les yeux rougis qu’elle suivit Walter en direction de la Rolls. Elle pleurait encore quand Walter la fit monter dans le véhicule et qu’il démarra en direction de la grille du château pour prendre la route départementale menant à la gare SNCF. Assise devant à côté de Walter, elle s’adressa dans son désespoir à celui-ci. Elle avait besoin vider son sac, de parler de son blocage soudain, de son refus de rester, de cette décision qu’elle avait prise dans l’émotion et plus surprenant de son regret. Oui elle regrettait maintenant sa décision. Et c’est en essuyant ses larmes et d’un ton angoissé, qu’elle exprima sa supplique : - Je ne pouvais pas … non …je … je voulais que ce soit Monsieur le Marquis qui … qui … qui me fasse l’amour d’abord… pas un autre… non … pas un autre en ...