1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°825)


    Datte: 18/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... c’est ça…Continue… Je te préviens, ce n’est pas gagné … En principe le Marquis ne revient jamais sur une décision … Mais bon, je n’ai qu’une parole, di-t-il en sortant son portable de sa poche poitrine, tout en composant les numéros de celui de son patron…. Allo… Monsieur le Marquis … Oui c’est Walter … Non pas encore… il y a du brouillard et je roule doucement…Voila ce qui se passe… Et il lui expliqua la situation en quelques mots. - Non c’est non, répliqua le Noble. Elle avait le choix, elle n’a pas su saisir sa chance. Trop tard. Et le téléphone coupa net. - C’est non… Je t’avais prévenu, que Monsieur le Marquis ne revenait que très rarement sur sa décision. A entendre ces mots, fanny voulu relever la tête pour stopper la pipe qu’elle exécutait jusque là avec application tant qu’elle croyait qu’elle serait la solution à son retour au château. Mais Walter ne l’entendait pas de cette oreille, il avait fait ce que la jeune femme lui avait supplié, elle se devait de finir son travail de langue. Alors il appuya d’une forte main sur la tête de fanny qui fut obligée d’engouffrer le volumineux sexe devenu raide au risque de s’étouffer. - J’ai fait ce que tu m’as demandé maintenant il faut me faire juter et tout avaler, compris salope ! dit-il. Ceci ne tarda pas, en effet fanny n’ayant pas le choix, compris vite que plus il éjaculera vite, plus vite le domestique lui ficherait la paix. Alors malgré sa grande tristesse, elle s’appliqua à pomper, sucer, lécher dans des va-et-vient ...
    ... buccaux de plus en plus accentués. Et ce fut par jets abondants de sperme que Walter jouis dans la bouche de la jeune femme qui bien obligée à avaler le foutre. Se relevant sur son confortable siège, fanny s’essuyait avec un mouchoir en papier que Walter lui tendit sans dire un seul mot. Le reste du voyage se passa dans un silence absolu. Arrivée à la gare c’est le cœur gros, que fanny attendait assise dans le hall d’entrée tandis que Walter achetait le billet au guichet. Quelques minutes après, on entendit au micro de la gare l’annonce de l’arrivée du train. Le majordome emmena la jeune femme sur le quai quand le train déboucha du brouillard pour se positionner à l’arrêt. Les portes s’ouvrirent. Fanny effondrée moralement, monta les quelques marches du wagon de tête quand tout d’un coup, le portable de Walter sonna. Celui-ci décrocha. Fanny, à la porte du wagon et gênant les autres usagers au passage, stoppa net comme tétanisée par ce subite et inattendu coup de fil. Elle n’entendait pas qui parlait. Etait-ce le Marquis ? Non pas possible. Alors au bout de quelques secondes c’est sans illusion et voyant qu’elle était mal placée, qu’elle entra dans le wagon. Assise c’est tristement derrière la vitre, qu’elle regarda Walter sur le quai. Quand celui-ci lui fit un grand signe de revenir tout en raccrochant son portable. Il n’en fallu pas plus. D’un bond, elle bouscula les gens et eut tout juste le temps de descendre avant que les portes se refermèrent et que le train démarra. Elle ...