1. Quiproquos et Conséquences


    Datte: 19/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pensent ne pas être entendus.Et là, nous étions aux premières loges.Ca n’avait rien à voir avec un film porno : Pas de grands cris orgasmiques, pas de gémissements artificiels, pas de plaisir simulé, pas de « Oh oui ! Mets-la moi bien profond, ta grosse tuuuut ! ».Le ton, l’intensité des petits cris et des couinements que nous entendions laissaient supposer que la dame ne simulait pas du tout son ascension vers le septième ciel.Cela faisait vraiment bizarre d’imaginer la belle mais froide rouquine, juste là, à quatre ou cinq mètres, les jambes écartées, en train de se faire ardemment tamponner le coquillard par son homme.Et manifestement, monsieur n’était pas si épuisé par le voyage car cela dura assez longtemps et se termina par un cri plus fort et plus aigu trahissant que Claire avait connu là, à quelques mètres de nous, un bien bel orgasme.Allongés côte à côte dans le silence revenu, nous n’avons rien dit, Cath et moi.Malgré le sommeil envahissant, ce divertissement sonore avait réveillé mes sens et une érection naissante me chatouillait le bas ventre. Il me démangeait d’imiter nos voisins de chambre.Pourtant, la fatigue fut la plus forte et je me suis endormi sans m’en rendre compte.DIMANCHENous dormons toujours totalement nus, Cath et moi. Quelle que soit la température extérieure.Au bout de dix minutes sous la couette, je ne supporte plus le moindre caleçon ou T-shirt.La plus petite paire de chaussette me donne des suées.Ma femme est comme moi, à une exception prés : ...
    ... Lorsqu’il fait vraiment très froid, elle garde ses chaussettes car comme toutes les femmes, elle a les pieds gelés et si ses glaçons viennent à se frotter contre moi je fais alors des bonds dans le lit.On ne peut pas dire qu’il faisait froid dans l’appartement.Ces logements collectifs sont toujours surchauffés.Si bien que le petit matin du dimanche nous vit lentement émerger d’un sommeil réparateur sur notre lit d’appoint, les draps baissés jusqu’à la taille afin de compenser la chaleur ambiante.Comme à la maison, mes premiers mouvements furent de tendre la main vers ma compagne et de délicieusement commencer la journée en caressant son ventre doux et plat puis en remontant doucement vers ses deux globes charnus et biens remplis.Je ne me lasse jamais de parcourir leur douce et tiède rotondité de ma paume. Il n’y a pas meilleure manière de commencer la journée !Ceux-ci réagirent vite à ma caresse car je sentis la chair de poule se saisir de leur extrémité et les tétons sensibles s’érigèrent sous mon titillement plus ciblé.Seulement, j’avais oublié que nous n’étions pas à la maison.Et alors que ma main repassait sous la couette à la découverte d’un mont de Vénus encore endormi je fus alerté par le sentiment d’une présence dans la pièce.J’ouvris les yeux et relevai la tête. Frédéric était là, en caleçon, torse nu, debout à trois mètres de nous.Sur le chemin des toilettes, il avait dû s’arrêter devant notre tableau rendu visible par le jour passant à travers les rideaux.Depuis ...
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