Quiproquos et Conséquences
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... combien de temps était-il là, à mater les seins de ma femme ?Je lançai un « Hé ! » indigné tandis que réalisant sa présence, Cath émit un cri perçant et s’empressa de se remonter la couverture jusqu’au cou.Pas du tout déstabilisé, il leva la main et nous dit :« – Hello vous deux ! Ne vous gênez surtout pas pour moi, c’était très joli ! »Et il s’enferma dans les toilettes.Aline me regarda, mi-outrée mi-amusée : « – Il est gonflé celui-là ! C’est à lui d’être gêné ! Il pourrait frapper avant d’entrer, quand-même ! »« – Le problème, c’est qu’on a pas de porte. Et qu’ils sont obligés de passer par là pour aller aux WC. »« – Ben ça promet ! »Cath n’est pas spécialement pudique, en règle générale. Elle ne se refuse pas un petit topless de temps en temps, l’été, pour le plus grand bonheur des nos voisins de plage qui ne manquent pas de remarquer ses beaux seins bien pleins et plantés haut.C’est pour cela qu’elle ne se formalisa pas trop de l’indiscrétion de notre coloc, mais en général, elle préférait décider du moment où elle dévoilait une partie de ses charmes.Lorsqu’il ressortit, Frédéric nous lança en passant :« – Allez les jeunes ! Faut se levez tôt si on veut profiter à fond de la neige ! »Puis il entra dans la salle d’eau et une minute plus tard, on entendit le bruit de la douche.Il n’avait pas tort : Si nous voulions profiter au maximum de notre séjour, il ne fallait pas trainasser au lit. Mais voilà un des inconvénients de la colocation : On est toujours dépendant du ...
... rythme de vie des autres.Lorsqu’il revint, habillé d’un T-shirt et d’un pantalon de sport, nous avions replié notre lit et, encore en pyjama pour moi et en nuisette pour Cath, nous préparions le petit déjeuner.Nous n’avions pas encore aperçu Claire.Compte tenu du récital qu’elle nous avait proposé la veille, je me demandais qu’elle attitude elle aurait ce matin.Allait-elle abandonner son air butté ? Serait-elle gênée ?Tandis que celle-ci était à sa douche, nous avons mangé tous les trois, avec son mari qui arborait son air jovial apparemment habituel.Tout en devisant sur ce que nous comptions faire de notre journée, je remarquais que les yeux de Frédéric déviaient très régulièrement sur la poitrine de mon épouse dont ont pouvait deviner le relief fidèlement retranscrit par le fin tissu de sa nuisette.Je commençais à penser que ce mec était un mateur professionnel et que l’épisode du matin ne devait pas grand chose au hasard : Il s’était arrangé pour entrer dans notre « chambre » en faisant le moins de bruit possible et en espérant y voir quelque chose d’alléchant.Je pense qu’il n’avait pas dû être déçu.Et je ne pouvais décemment pas lui en tenir grief : Cath est très mignonne et je comprends les hommes dont les regards suivent ses courbes aguicheuses. Je me sens même parfois flatté par cet hommage muet à ma compagne en réalisant que c’est moi que ce petit canon a décidé d’inviter dans son lit et dans sa vie.Par ailleurs, en bon mâle qui se respecte, je ne peux pas toujours ...