1. Premier contact.


    Datte: 19/07/2018, Catégories: fh, jeunes, copains, intermast, Oral

    ... 1m60 à l’époque, une chevelure dorée et des yeux marron ainsi qu’un sourire toujours gourmand. Si je me souviens bien c’est en quatrième que mes rapports avec Judith ont changé de nature de façon radicale. Je me souviens que nous étions amis depuis l’entrée au collège mais cette année un fait marquant a tout changé. A l’époque Judith n’était pas farouche, je me souviens que beaucoup de garçons de la classe, attirés par ses formes développées, en particulier sa poitrine, s’amusaient à la taquiner, la pelotant au passage. Je n’étais pas comme ça et le seul fait de les voir profiter de son insouciance me rendait jaloux. Elle était en effet ravissante et contrairement aux autres filles de la classe elle était physiquement déjà très attirante pour de jeunes puceaux excités comme nous l’étions. Mais moi je n’osais rien, c’était une amie, qui se faisait draguer par tous les mecs mais une amie quand même. Sauf que bizarrement elle ne sortait avec aucun garçon. Un vendredi après midi, alors que nous regardions une vidéo en cours de français, il s’agissait du film d’animation « le tombeau des lucioles » mais je ne me souviens plus quel en était l’intérêt pédagogique, j’étais assis dans le noir au fond de la classe juste derrière elle à côté de Ludovic et ce dernier eut l’idée de tirer sur la bretelle de son soutien-gorge au travers de son top rouge. La bretelle claqua doucement sur sa peau et elle se retourna en hâte pour voir qui s’amusait de ses sous-vêtements. Elle me regarda droit ...
    ... dans les yeux. — Il ne faut pas te gêner surtout… Dit-elle l’air malicieux.— Ce n’est pas moi ! Dis-je l’air goguenard pour dissimuler ma gêne. Elle se retourna et Ludovic réitéra l’opération trois ou quatre fois sans qu’elle daigne le regarder, se retournant toujours pour me fixer, comme persuadé que j’étais le responsable. Puis le prof, alerté par l’agitation, ordonna à Ludovic de se déplacer. — Tu vois que ce n’était pas moi ! Dis je encore une fois sur le ton de la rigolade après qu’il soit partit— Oui, dommage… Dit elle simplement en se retournant vers l’écran. A ce moment là mes neurones ont commencé à carburer sec. Je me demandais si j’avais bien entendu ? Si j’avais bien interprété ses mots ? Voulait elle que je tire sur cette satanée bretelle ? Rien que d’y penser je commençais à être excité. Prenant mon courage à deux mains, comme si j’allais commettre l’irréparable j’approchais ma main de son dos et me saisissait délicatement de la bretelle que je tirais légèrement avant de la faire claquer le plus doucement possible dans son dos. — Aïe ! Dit-elle doucement. Cette fois ce n’est pas l’autre là !— Je t’ai fait mal ? Dis en souriant.— Oui, très ! Dit elle faussement scandalisée.— Excuse-moi. Dis-je doucement en posant ma main dans le bas de son dos, sous le dossier de la chaise. Ma main resta immobile pendant quelques secondes puis je commençais à la caresser, passant discrètement de son dos vers ses fesses posées sur la chaise. Au moment où je palpais la base de ses ...
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