1. Les vacances à la ferme (1)


    Datte: 20/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Vicieusement, elle décida de profiter encore un peu plus de la situation et plaça sous le ventre de sa petite fille un gros oreiller. Dans cette position, Nathalie se retrouva avec le cul dressé en l’air et les cuisses encore plus écartées. Inconsciente du spectacle particulièrement obscène qu’elle offrait, les yeux fermés, elle se laissait faire par les mains expertes de sa grand-mère et s’abandonnait complètement à l’effet relaxant du baume. Tout en rapprochant ses mains de la chatte de sa petite fille, Germaine lui parla : « Voilà, ça commence à te faire du bien et ça ira de mieux en mieux. Tu sais, il faut laisser respirer ton corps à la campagne. Si Dieu nous a donné du soleil et des champs, ce n’est pas pour rien. Tu ne dois pas avoir honte d’exposer à la nature tes parties… Intimes ! Tes fesses, par exemple… » Et ce faisant, elle empoigna les deux globes qui se hérissèrent brusquement de chair de poule, les écarta légèrement et les malaxa à pleines mains. Sous l’effet de cette caresse incongrue, Nathalie poussa un léger cri apeuré. Elle sentait sa grand-mère pétrir son cul comme une vulgaire miche de pain au fournil, les doigts de l’aïeule frôler son anus et se perdre plus bas dans les replis de son sexe avant de remonter sur ses reins. Elle sentait une chaleur malsaine envahir son bas-ventre et sa chatte s’humidifier. Un gémissement sourd lui échappa quand Germaine posa ses mains à l’intérieur des cuisses pour les écarter plus largement. Nathalie sentit immédiatement ...
    ... son sexe bailler et l’idée que sa grand-mère put s’en apercevoir la terrorisa en même temps qu’un filet de mouille traduisait le plaisir sale qu’elle éprouvait à cet instant. Luttant désespérément contre le désir qui fouaillait son ventre, Nathalie dit à sa grand-mère : « Je… Je t’assure mamie que je vais mieux ! Tu peux arrêter maintenant ! johhpf — Tut tut tut ma petite ! C’est moi qui déciderai quand arrêter. Mais dis-moi : est-ce que tu te branles au moins de temps en temps ? » Interloquée par la question, Nathalie bafouilla : « Me quoâââ ? » — Est-ce que tu te masturbe ? est-ce que tu te taquine le frou-frou ? Est-ce que tu te fais des solos de mandoline ? Est-ce que tu t’astique le bonbon ? Oh mais tu m’énerve à la fin avec tes airs d’oie blanche ! » Et sans plus de sommations, Germaine enfouit ses doigts dans la chatte baveuse de sa petite fille et posa un index énergique sur le clitoris tendu. Nathalie eut un hoquet paniqué et tenta de se soustraire aux doigts qui lui fouillaient la vulve. — « Si tu te débats ou si tu essayes de dérober je te promets que ton dos, tes fesses et tes cuisses vont te brûler ! » « Oh mon Dieu ! Je vais me faire violer par ma grand-mère », songea la jeune fille. Et de fait, les mains de l’aïeule plongeaient dans les replis humides de sa chatte, défroissaient les petites lèvres, parcouraient le périnée jusqu’à l’anus avant de repartir à l’assaut du clitoris. Sous le triple effet de la brûlure du soleil, de l’effet apaisant de la crème et de ...
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