1. Luce, bourgeoise adultère malgré elle (7) : quand le plaisir s'enchaîne


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... je pense qu'il faudrait appliquer du citron additionné de bicarbonate sur la tache, attendre que la pâte sèche et brosser, affirma-t-il en retrouvant un peu d'assurance professionnelle. - C'est ce que vous faites quand vous égarez votre propre semence ? - Madame ! fit-il offusqué par sa remarque. - Oh ! Raymond dites-moi, vous ne vous êtes jamais répandu en pensant à moi ? - Madame ! - Vraiment jamais ? Et elle plaqua sa main sur le paquet du teinturier en ajoutant : vous n'avez donc jamais rêvé que je porte ma main là où elle est maintenant ? Vous n'avez jamais imaginé voir ma poitrine aussi dénudée qu'aujourd'hui ? - Euh ! Si madame, beaucoup de fois ! Avoua-t-il après un long silence qui le mit au supplice et qu'elle utilisa pour lever toute équivoque en se collant contre lui. - Laisse-moi faire, continua-t-elle, en le débraillant. - Oh ! Madame vous… vous… vous êtes… fit-il en se tortillant sous l'expertise des doigts qui dégageaient une queue qui n'osait pas encore manifester sa reconnaissance. - Ne t'inquiète pas, Raymond, dit-elle en empoignant la sexe qui s'apprivoisait enfin sans atteindre encore les dimensions souhaitées par les deux partenaires, je vais te faire une pipe et j'avalerai ton foutre pour ne rien tacher. Elle porta le gland au bord de ses lèvres. La pine du teinturier était encore inoffensive et quelque peu ramollie. La pointe de sa langue vint se poser sur le méat et le titiller jusqu'à ce que les gémissements du teinturier la rassurèrent sur ...
    ... l'efficacité d'une telle pratique. Elle arrondit ensuite sa bouche pour recevoir le gland lisse qu'elle mordilla en douceur. Son visage s'avança pour recevoir la queue, encore loin de ses possibilités, et l'emboucha en totalité. Sa langue entra en action dans un ballet virevoltant et elle sentit le pénis prendre enfin un volume de plus en plus respectable jusqu'à ce qu'il utilise tout l'espace et même plus de ce qu'elle pouvait lui offrir. Pilardon la regardait, plus subjugué que fasciné par son savoir faire et son audace. Il bandait comme un âne dans la bouche de l'inaccessible femme du maire. Leurs regards se croisèrent et commença une longue chevauchée exaltante où la bite du commerçant profanait la bouche de la belle bourgeoise. Elle prit ses couilles en main en les pressant fort tandis qu'il s'accrochait à sa nuque pour imprimer un rythme endiablé aux succions gourmandes. Il poussait des cris hystériques tandis qu'elle restait silencieuse, laissant parler pour elle les gargouillis de sa bouche. Lorsqu'elle glissa un doigt sur son périnée pour l'y caresser, le teinturier rugit en lâchant des salves de foutre dans la gorge de Luce. Elle aspira les rasades de jus gluant et visqueux jusqu'à ce que l'homme se calmât et que sa bite redevînt cette petite chose insignifiante qui venait de connaître un délice dont elle avait été jusque-là privée. Abasourdi, il regardait madame Saint-Sauveur remettre son soutien-gorge et sa veste sans réagir. Elle lui souriait avec malice. Elle s'approcha ...