1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (24)


    Datte: 25/07/2017, Catégories: Trash,

    ... en passant un doigt léger sur ses fesses marquées. Mais j’aimerais que quelqu’un me remercie en étalant du baume apaisant sur mon petit cul en feu ! — Si tu veux, je m’en occupe, répondit Anita. Je te dois bien ça car tu as souffert à cause de moi, après tout. Sandrine et Lenoir partirent se coucher sur la promesse de beaucoup discuter le lendemain. En grimaçant, Mélanie se coucha sur le ventre en montrant le tube posé sur son chevet. Anita rigola : — Eh bien, s’il est là, c’est qu’il doit servir souvent ! — Au moins une fois par semaine. Lenoir doit être le client privilégié du fabricant. — Putain, tes fesses ! Tu as chargé ! Il te bat souvent aussi fort ? — Là, c’est rien. Des fois, c’est tout le corps ; mais maintenant c’est rare. Avec l’école, je ne peux me permettre d’être trop marquée. — Et Thomas, il est pareil ? — Il aime dominer, me battre aussi avant de faire l’amour. C’est éprouvant car il est monté grave. Anita rougit, mais comme elle était occupée à tartiner les fesses martyrisées de la blondinette, celle-ci ne le vit pas. Elle n’était certes plus vierge, mais n’ayant pas une grande expérience des choses du sexe, elle avait du mal à en parler, surtout avec des mots crus. — Voilà ! Les fesses de Mademoiselle sont prêtes ! — Merci. Je pense que je vais dormir sur le ventre cette nuit. Enfin, c’est pas grave. Le plus sympa, c’est que mon Thomas va savoir qu’il a une petite sœur... * * * Le lendemain, Mélanie était partie depuis longtemps quand Anita s’éveilla ; ...
    ... elle descendit à la cuisine, enveloppée dans une épaisse et confortable robe de chambre un peu trop grande pour elle qu’elle avait trouvée posée sur ses vêtements. Sandrine était seule dans la cuisine ; elle s’en trouva soulagée car son père lui faisait un peu peur. — Bien dormi ? s’informa Sandrine après l’avoir embrassée sur les deux joues. — Oui, merci. Vous êtes la... femme de mon père ? — Primo, moi c’est Sandrine et tu me tutoies. Je suis la maman de Mélanie. Et la compagne de ton papa. La petite brune ouvrit des yeux ronds, le temps de digérer ces informations. — Nous allons nous marier cet été. Le même jour : Thomas avec Mélanie, Arnaud avec moi. Tu vas avoir du travail : je suis certaine que tu seras embauchée comme demoiselle d’honneur ou témoin. — Oh ! Ce sera avec plaisir... ldglcczm La jeune fille rougit en apercevant le tatouage sur le biceps de Sandrine, qui s’en rendit compte et éclata de rire. — Je vois que tu sais ce que ça signifie ! Mélanie a le 32 et moi le 36. J’ai eu mon numéro après ma fille. — Vous croyez... Pardon, tu crois que je vais avoir aussi... — Mais non, enfin ! Sauf si tu le souhaites, bien sûr. Mais tu dois être sûre de toi : ça ne part pas au lavage. Tu aurais envie ? — Je sais pas trop. Mélanie m’a montré ses tatoos et ses piercings ; ça m’a fait peur, mais en même temps remué le ventre. Tu crois que je peux en parler à... papa ? Que ça lui semblait étrange de prononcer ce mot ! Elle n’avait jamais appelé personne ainsi, et pour la première ...