1. ANCIENNE ELEVE


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... propriétaires je vais le régler, tu me rembourseras quand tu pourras. Nous avons quitté le café et elle a pris place dans ma voiture. - Je peux t'embrasser pour te remercier ? - Bien sur! Et pendant que ses lèvres venaient se poser sur ma joue j'ai posé mes mais sur son genou dont la douceur me paraissait suave malgré les collants. - Je suis sure que tu aimes les femmes ? Me dit-elle. - Pourquoi cette question ? - La manière que tu as de me regarder, de me toucher…. - C'est vrai, j'aime les femmes, mon mari le sait et ne trouve rien à y redire. - Moi aussi j'ai eu des expériences avec des filles quand j'étais au collège.. - Tu as aimé? - Beaucoup et mes petits amis n'ont jamais réussis à me faire jouir comme l'a fait une de mes camarades. J'ai souri de façon énigmatique en pensant qu'elle avait partiellement raison, la manière dont une femme me fait jouir est totalement différente de celle avec un homme, mais les deux sont délicieuses. Arrivées chez elle je l'ai aidé à faire sa valise, elle avait peu de choses, mais j'ai remarqué que les collant, étaient inexistants mais les bas à profusion, que ses dessous étaient essentiellement des strings aussi mini que possible. Nous sommes reparties vers son nouveau "chez elle" elle s'est extasiée sur la décoration et le confort. Elle m'a dit être confuse d'accepter aussi rapidement ma proposition .et m'a sauté au cou pour me remercier; je l'ai embrassé en faisant volontairement riper mes lèvres vers les siennes; elle n'en fut pas ...
    ... étonnée et à même ouvert les siennes, sa langue cherchant la mienne. Mon ventre était en feu et ma culotte devait absorber une grande quantité de cyprine. Il fallait que nous nous quittions car je voulais faire durer les plaisirs. Je lui ai dit de s'installer tranquillement et qu'elle avait à sa disposition un téléphone dont une touche sonnait directement à l'appartement. Je suis descendue chez moi, pleine de pensées lubriques, Mon clitoris gonflé d'attentes, il fallait que je le satisfasse et j'ai donc décidé d'aller prendre un bain. Sortie de mon bain, volontairement insatisfaite, je me suis préparée pour recevoir ma nouvelle pensionnaire. Un tee-shirt blanc, pas trop moulant, sous lequel mes seins pouvaient se mouvoir à loisir; une jupe noire, courte est droite, assez ajustée pour laisser voir, si je me penchais, que mes petites fesses n'étaient prisonnières de rien. Un brin de maquillage. Il ne me restait plus qu'à attendre l'arrivée de la radieuse Isabelle. Radieuse elle l'était, ses longs cheveux blonds tirés en queue de cheval, que je me ferai un plaisir de dénouer pour caresser mes seins de leur masse fluide. Un chemisier rose largement ouvert sur sa petite poitrine dont les pointes de seins tendaient légèrement le tissu. Le kilt qu'elle avait l'après midi et un bouquet de fleur illuminant son grand sourire. - Je suis très touchée, mais il n'est pas question que tu dépenses ton argent à ce genre de choses. - Mais tu es si gentille et ta proposition m'enlève une telle épine ...
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