Madame... (2)
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
Divers,
... terminé, lentement, je me tournais vers Caroline. Nos bouches fusionnèrent, elle s’abandonna. Épuisé avec Madame, je n’avais pas la force de bandé. C’est mes mains et ma bouche qui jouèrent parfaitement leur rôle. Je sais que Madame peut me voir. En me couchant tout à l’heure, j’ai vu briller l’objectif de cette caméra dissimulée derrière la grille d’aération. Donc, si elle nous voit, elle nous entend. Caroline, bien que tendue, finit par se détendre sous mes caresses, mes baiser. C’est elle qui guida mes mains entre ses cuisses. C’est elle qui menait le jeu. C’est elle encore qui fixait les limites. C’est moi qui étais enchanté que cela se passe aussi bien pour elle. Une belle érection fit plaisir à Caroline. Lentement, elle me coucha sur le dos. Lentement elle s’empala sur mon corps. Tendrement, je caressais son corps. Amoureusement, on s’embrassa. Elle fut heureuse de jouir après un long moment et moi, je fus surpris d’avoir tenu une si longue érection. Caroline fut si heureuse qu’elle hurlait son bonheur en courant partout entièrement nue. J’enfilais ma salopette, ma ceinture et pris ma trousse pour une inspection en règle de l’étage. Le constat fut amer, il fallait tout changer. Les tuyaux étaient encore en plomb et sur le point de casser. Je retrouvais Madame en compagnie de Caroline. Toutes les deux s’aimaient tendrement. Madame, alors que j’allais faire demi-tour, me fit approcher. Je lui fis mon second topo et il était sans appel. Caroline me sauta au coup, ...
... m’embrassait de partout comme si j’étais son sauveur. Madame était visiblement contente de mon comportement. Pourtant, je posais Caroline dans les bras de notre Maîtresse et les abandonnais pour continuer mon exploration. C’est en bas que tout commence, c’est en bas que je continuais mon inspection. Je fis des découvertes, dont une, la salle de torture, presque identique à celle mon rêve, le soir de ma venue, dans la voiture avec Sybile. Alors que je contrôlais les radiateurs de cette salle, Clélia arriva, debout près de moi, elle me regardait travailler. Soudain, j’entendis un bruit. J’ai bousculé Clélia, l’envoyant contre une sorte de canapé et ce fut l’explosion. Je me réveillais dans une vaste chambre toute blanche. J’avais les mains bandées, un gros pansement sur ma poitrine et un autre sur le côté de mon front. Une femme en blanc entra, vit que je la regardais. Elle revint avec ce qui avait l’air d’une femme médecin. « Jeune homme, vous vous en sortez bien. Vous avez été brulé sur une grande partie de votre corps, mais et heureusement pour vous, au premier degré. Quelque jour parmi nous et il n’y paraitra plus rien. » « Je suis où ? » « Au centre des grands brulé. Plus précisément aux soins continus. Une demoiselle vous y a amené dans une belle Rolls. » Sybile, il ne pouvait s’agir que de Sybile. Le toubib continua : « Alors, vous avez eu des coupures très profondes à vos mains. Vous avez été aussi brulé par de la vapeur, sans trop de gravité, c’était au premier degré. Pour la ...