1. Nadine


    Datte: 22/07/2018, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail grosseins, fbi,

    ... Deux minutes plus tard, elle arrive avec le dossier sous le bras. Je ne sais pas si elle s’en rend compte, mais elle a le regard braqué sur la poitrine de la patronne, et c’est très flagrant, les yeux lui sortent de la tête. Viviane tend la main, mais Nadine ne semble pas s’en rendre compte. — Puis-je avoir ce dossier ? Elle semble se réveiller tout à coup et lui tend la chemise. — Écoutez, ma fille, vous avez passé toute la matinée à loucher sur mes seins. Ça ne me dérange pas outre mesure, mais vous pourriez au moins essayer d’être discrète. Surtout si nous ne sommes pas seules. Nadine devient écarlate. — Mais, mais, je, je, je ne… Je rigole intérieurement. Néanmoins, je tente de venir à son secours, même si ça n’est pas de manière très adroite. — Hum, je crois que vous vous méprenez sur les intentions de Nadine. En fait, elle se demande simplement si votre poitrine est naturelle ou si vous avez des implants. Viviane me regarde. Puis se tourne vers Nadine. — Quoi ? Mais, je ne vous permets pas. Vous voulez vérifier l’authenticité de mes seins ?— Mais non, je ne voulais pas… Elle me jette un regard assassin à la sauvette, mais Viviane réattaque. — Ah non, n’essayez pas de rejeter la faute sur ce pauvre Laurent. Bon, nous allons régler ça. Vous allez palper tant que vous voulez, mais je vous préviens que je vais vous faire subir tout ce que vous allez me faire. Il n’y a pas de raison que je sois la seule humiliée ici.— Mais je vous assure que…— Inutile de discuter. Je ne ...
    ... vous laisse plus le choix.— Euh, bon, si vous y tenez. Mais… devant lui ? Et elle se tourne vers moi. — Ah oui, je l’avais oublié, celui-là. Allez Laurent, débarrassez le plancher, et fermez la porte derrière vous. Je vous rappelle après. Je me lève et je sors. Je ferme la porte, mais au lieu de filer dans mon bureau, je reste derrière le panneau pour écouter la suite, en priant pour que personne ne s’amène. — Voilà, j’espère qu’ils vous plaisent ?— Oh ! Euh, ils sont… superbes !— À votre tour, maintenant, montrez-moi les vôtres… Hmmm, oui, ils ne sont pas mal non plus. Bon allez, touchez-moi, palpez. Je râle. Où sont passés les bons vieux trous de serrure d’antan ? Pas question de regarder par le trou de ces foutus barillets modernes. Mais j’entends que Nadine se fait tripoter aussi, car elle pousse des petits grognements de plaisir, me semble-t-il. Elle semble apprécier ! Je n’en reviens pas. J’imagine que de son côté, elle doit laisser traîner un peu trop ses doigts sur les mamelons de la patronne, car je l’entends dire : — Vous croyez que si vous me les dévissez il va en couler du silicone ?— Aïe, mais je ne vous les ai pas tordus, moi.— Et bien, prenez votre revanche. Rendez-moi la pareille. Ça dure encore une minute, puis Viviane lui dit : — Bon, vous êtes convaincue, maintenant ?— Euh, eh bien…— Comment ? Pas encore ? Bon nous réglerons ça plus tard. Vous ne faites rien ce soir ?— Euh, non, pourquoi ?— Passez dîner à la maison, nous tirerons ça au clair après le repas. Je ...