1. Nadine


    Datte: 22/07/2018, Catégories: fh, ff, Collègues / Travail grosseins, fbi,

    ... vous attends à dix-neuf heures. Waow. Ça m’a tout l’air que Nadine va passer à la casserole. Je ne me serais jamais douté que Viviane était une gouine. — Bon, rhabillez-vous et filez.— Oui, mais… mon soutien-gorge ?— Je le garde. Je vous le rendrai ce soir. En tout cas, moi, je m’éclipse pour aller attendre le coup de fil de Viviane dans mon bureau. Quand je la rejoins, les pointes gonflées de ses seins déforment encore la surface de son body, me laissant deviner un diamètre d’aréole hors du commun. Pendant tout le temps que dure notre entretien, je ne peux m’empêcher de bander comme un âne. Ensuite, je repasse par la réception pour aller lorgner sur les seins de Nadine, libres sous son chemisier. Je lui demande comment ça s’est passé, mais elle me répond que la patronne lui a fait palper un sein à travers le body, et qu’elle ne croit plus du tout qu’ils sont siliconés. Et puis surtout, elle me demande de fermer ma gueule. Je change de conversation en lui demandant où est Nancy, l’autre réceptionniste. Mais celle-ci est en congé toute la semaine. Le soir, je n’y tiens plus. Il faut que je sache. Je me fringue tout en noir, et je prends ma bagnole que je laisse à quelques blocs de chez Viviane. Je fais le restant du chemin à pied. Il est dix-neuf heures trente. Je passe par le jardin, et m’installe de manière à voir à travers une fenêtre sans être vu. Elles en sont à l’apéro. Viviane porte une robe longue noire, entièrement décolletée derrière, qui dévoile un dos superbe et ...
    ... musclé. J’aurais pensé que Nadine serait venue en pantalon et en pull à col roulé. Mais non, elle a mis une petite robe bien courte et n’a visiblement pas remis de soutien-gorge. Après un moment, elles passent à table, et je me réjouis déjà de voir comment vont tourner les événements. Mais je ne le saurai jamais. On me tombe dessus par derrière. Trois balèzes, fringués tout en noir comme moi. Je me prends un gnon avant d’avoir pu faire quoi que ce soit, qui m’envoie valser contre le mur. Et il est suivi d’un bon coup sur le crâne qui me fait perdre connaissance. Lorsque je me réveille, j’ai un truc sur la tête. Un sac, je suppose. Mais je ne vois rien. Je suis assis, ligoté au dossier de ce que je devine être une chaise. Et j’ai les mains attachées dans le dos. — Notre client revient à lui. Merde, dans quel bourbier me suis-je fourré ? Je prends une baffe. — Bon, tu vas nous dire ce que tu foutais dans le coin où on t’a trouvé.— Mais, rien… enfin… Je me prends une autre beigne. — Tu voulais faire un casse ?— Mais non, pas du tout… C’est quoi ces mecs-là ? Leurs questions sont plutôt bizarres. C’est des flics ou quoi ? — Laissez tomber les gars, ce n’est pas la bonne méthode. Il va nous dire tout ce qu’on veut savoir. Aïe, Aïe, Aïe. Mon estomac se noue. Mon imagination galope alors que j’entrevois tout ce qui pourrait m’arriver dans les minutes qui suivent. On m’immobilise le bras, et je sens la piqûre d’une aiguille. Presque immédiatement, je deviens vaseux. On me pose un tas ...