1. NUS DANS LA BAIE


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Voici bientôt deux années que j’exerce comme guide en baie d’Authie. Grâce à l’office du tourisme qui m’offre de nombreuses vacations en saison, j’ai pu obtenir, en cours d’emploi, le diplôme d’accompagnatrice nature. J’aime mon métier, même s’il ne me permet pas, à lui seul, d’avoir une rémunération suffisante pour vivre. Je complète mon revenu par quelques tâches administratives ou commerciales hors saison. L’an dernier, j’ai épousé un de mes collègues qui, grâce à un CV universitaire conséquent travaille aussi à des recherches scientifiques sur notre écosystème local. Il n’est pas un fougueux amant, mais un agréable compagnon de route. Je suis, depuis peu, enceinte de ses œuvres et mon ventre s’est très discrètement arrondi. Je suis de petite taille pour ma génération et je trouve mon aspect physique assez quelconque : yeux noisette, cheveux châtains assez raides, silhouette assez massive et musclée, formes et traits réguliers sans grand relief. Je n’aime pas vraiment mon image et m’habille à la garçonne. Aujourd’hui, je porte un survêtement, des tennis et une polaire de couleur neutre ainsi qu’un sac à dos contenant mon indispensable lunette d’approche pour observer la faune locale. Je suis intriguée par mes clients du jour. Mon chef me les a décrits comme un groupe de retraités sympathiques mais « assez spéciaux ». Je ne comprends pas ce qu’il a voulu suggérer sous ce terme et ai accepté sans difficulté la mission. J’arrive la première au point de rencontre en bas de ...
    ... la dune, au bord d’une petite route. Mon véhicule à peine garé, je suis rejointe par trois voitures qui libèrent une douzaine de personnes (quatre hommes et huit femmes). Celui qui parait être le leader s’avance vers moi, regroupe ses amis et se livre à la cérémonie des présentations. Ils sont sympathiques et souriants. Nous plaisantons sur notre prochaine aventure commune à la rencontre des phoques et autres oiseaux de mer. Véhicules fermés, nous accédons à l’entrée d’un étroit chemin creux bordé de dunes et de pins maritimes. C’est à ce moment que je découvre ce que mes compagnes et compagnons ont de « spécial ». Dans un mouvement presque synchronisé, ils déposent leurs sacs à terre et commencent à se dévêtir. Sous mes yeux étonnés, ils sont bientôt entièrement nus et uniquement équipés de leurs chaussures de randonnée. Je suis d’autant plus sidérée que j’ai plaisir à les contempler et que je les trouve beaux ainsi, bien plus que lorsqu’ils étaient encore habillés. Certes l’âge a ajouté quelques plis ou rides à leur anatomie, mais sans excès. Je suis maintenant la seule à être « différente » du reste du groupe. Je danse d’un pied sur l’autre sans trop savoir comment me comporter. Leur chef me suggère de « me déshabiller pour me sentir plus à l’aise ». J’hésite. Au bout de quelques secondes, une femme sans âge et rondelette s’approche de moi en souriant. Elle commence à me délester de mon sac puis de ma polaire. Je suis sidérée et incapable de bouger. Le groupe entier me ...
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