1. NUS DANS LA BAIE


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... deuxième halte mon commentaire sur les cormorans est difficilement bredouillé tant ces caresses deviennent osées. Mes deux seins font l’objet de nombreuses attentions au point que leurs tétons sont atrocement durs. Mon sexe et mes fesses sont caressés par des mains tantôt rudes, tantôt douces. Mon bas-ventre est, lui aussi, tendu et douloureux. Alors que je me penche pour régler ma lunette, deux doigts s’engagent si fermement dans mon vagin et mon cul, aussi humides et dilatés l’un que l’autre. Gênée, je tarde à me relever. Je sens le plaisir monter et étouffe, comme je peux, un cri aigu. A aucun moment je ne distingue qui s’occupe de tel ou tel point de mon anatomie. Je n’essaie pas de savoir si mes orifices sont pénétrés par un homme ou une femme. Je suis amoureuse de tout un groupe anonyme et de sexe indéterminé. Plaisir ! Le nouveau parcours pour aller contempler la baignade alimentaire des phoques se déroule avec moult interruptions. Je ressens maintenant de violents spasmes sous les caresses et tout le troupeau est stimulé par mon incroyable exhibition. Ils se relaient en embrassades profondes, en effleurements qui concernent tous les endroits de mon corps totalement érotisé. Tantôt ils ou elles m’obligent à m’agenouiller, fesses en l’air tête au sol, pour stimuler mon cul de leurs langues humides. Tantôt elles ou ils me couchent sur le dos jambes écartées à l’extrême pour se repaître entre mes cuisses de mes liqueurs. Puis nous reprenons notre chemin, collés les uns ...
    ... aux autres. Arrivés au point suivant, c’est tout juste si l’on me laisse le temps pour régler la lunette vers les phoques. Alors que deux couples (garçon-fille et fille-fille) font l’amour à même le sol, à quelques pas de nous et qu’un autre participant à tour de rôle contemple les phoques à la lunette, une bonne dizaine de mains sont à la recherche de mes orgasmes en alternant les gestuelles caressantes et les doigtages pénétrants. Au gré de leurs mouvements, je suis maintenant disloquée sur le sol, tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos, le corps agité de soubresauts. Mes souriants agresseurs s’en donnent à cœur joie, encouragés par mon évident abandon. Je ne retiens plus mes cris et me laisse aller à de longs hululements stridents qui ne font qu’exciter encore plus mes partenaires. Je perds la notion du temps. Lorsque je reprends un peu mes esprits, je donne l’ordre du repli avant que la marée ne nous déloge. Le retour est un peu plus calme que l’aller. Je suis en permanence encadrée de deux entités caressantes, mais seulement de deux. Je ne ressens plus rien d’autre que les stimuli érotiques et me meut en silence, flageolante, tel un zombi. A notre arrivée au port nous pratiquons mille embrassades et nous promettons, avec des accents de sincérité non feinte, de renouveler bientôt l’expérience. Mes clients partis, je m’effondre, inconsciente, sur le sable, et reste ainsi un long moment avant d’être capable de regagner mon gîte. Difficile, après cela, de ne pas ressentir un ...