Rubans
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... te suce la bite, Marcel?», demandai-je maintenant que les trois bandes de tissus étaient en place. C'était plus une déclaration qu'une question : nous savions bien tout deux que toute réponse était ici superflue. Il prit son pénis érigé et ramena son prépuce en arrière avant de le mettre dans ma bouche invitante. Je le suçais lentement au début, recueillant une goutte de pré-sperme avant de l'étaler sur mes lèvres. Tout en accélérant le rythme, je tournai doucement le crayon situé sous ses bourses, serrant l'étreinte du ruban. Sa confiance en moi est si grande, me disais-je à chaque fois que j'atteignais ce stade. Il encourageait amoureusement mes attentions en tenant ma tête fermement dans ses mains. À aucun moment m'arrêtais-je, pas même pour un instant, pas même alors que sa bite était enfoncée profondément dans ma gorge, ma bouche et ma langue agissant de concert pour qu'il me donne ce que je voulais le plus : le goûter, et contrôler sa délivrance. Les minutes passèrent pendant que ma tête montait et descendait sur son érection. J'étais impitoyable, ralentissant par moments, accélérant par d'autres, ne m'arrêtant qu'une fois, pour plonger mon regard dans ses yeux et demander : «dis moi que tu aimes quand je suce ta bite mon chéri! Dis moi! — J'adore», grogna-t-il, incapable d'embellir plus son propos. Sentant qu'il était proche de la fin, j'intensifiais mon effort, serrant le tourniquet improvisé, étranglant ses testicules. Seuls ses suppliques m'auraient fait lâcher ...
... prise. Je continuais à le sucer, plus fort, plus profondément, jusqu'au moment où enfin il s'écria «Vas-y Alanna, prend tout!» C'était exactement ce que je j'avais attendu, et à ce moment précis je défis le tourniquet, libérant son scrotum devenu écarlate sous l'effet de la tension. Il explosa dans ma bouche, envoyant d'épais jets de sperme au plus profond de ma gorge, m'inondant de sa chaleur poisseuse. Son sperme était chaud. Sa consistance sans égale, son goût sans comparaison. L'aphrodisiaque ultime dont je ne pouvais me lasser. Tenant fermement ma tête dans ses mains, il remplit ma bouche de sa semence que je refusais d'avaler. Mon menton était maintenant couvert d'un mélange de salive et de sperme, et tout en maintenant son pénis en place, je défis le premier noeud, libérant une de ses testicules avant de me remettre à le sucer lentement. Je défis le second noeud, et ses testicules se rétractèrent lentement vers leur foyer. Il était à moi maintenant, et je continuais à sucer, le tenant captif pendant que sa bite macérait dans son propre sperme. Et pourtant je me retenais de tout avaler tant qu'il restait encore une goutte dans l'engin. Une fois l'avoir senti se relâcher et après que la semence restante soit sortie, je le libérai. Ses yeux restèrent fermés pendant que je massais ses testicules, une dans chaque main. Lentement mais sûrement, il remonta à la surface. «Pauvre chéri, dis-je. Si brave devant un tel supplice.» Son regard, voilé par l'expérience passée, s'éclaircit ...