COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (4/6)
Datte: 22/07/2018,
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Dans la zone rouge,
... Mais a-t-elle le choix ! Jules son mac semble un homme très violent, ma robe se soulève, ma culotte une nouvelle fois se déchire. J’en avais mis une, en sortant tout à l’heure, ne pensant pas me retrouver dans la situation où je me trouve. Je me débats, il me bloque les jambes, Olga me bloque les mains. Ma robe boutonnée s’ouvre, j’essaye de me retourner, il a ouvert sa braguette. J’ai le temps de voir sa bite. Comment Olga a pu monter au rideau avec ce petit morceau, mais bien bander tout de même ? Je fatigue, je suis obligée de me calmer, je sens le sexe de ce maquereau à l’orée de ma chatte. Le gland est à l’orée d’entré, je frisonne. Aimerais-je la rudesse après la crasse et les matelas pourris ? J’ai le temps de penser à ça quand la porte claque et je sens le corps qui me compressait s’envoler pour aller se fracasser sur la table où l’eau pour le café était enfin chaude. - Muller, c’est toi, tu es venu me chercher ? Je me lève sans m’occuper de Jules qui hurle. L’eau chaude a atterri sur sa figure et il semble que ses yeux aient trinqués. Je saute dans les bras de mon SDF retrouvé. Ma bouche s’approche, il est toujours aussi laid, il lui manque même une dent supplémentaire. - Viens, je t’ai vu suivre la jeune femme qui est là et ce fumier de Jules que je connais vous suivre, semblant en colère. - J’avais raison, il avait commencé à te violer. Jules s’est affaissé et hurle que ça brûle et qu’il ne voit plus rien. Sans un regard, après avoir embrassé mon homme enfin ...
... retrouvé, je me remets au sol. Je cherche et trouve mes chaussures avec du mal. Je croise ma culotte que je laisse là où elle est tombée après avoir craquée, je récupère mon sac. Dans ma précipitation, j’oublie la robe que je viens d’acheter. Est-ce mon destin de vivre toutes ces aventures alors que j’avais une vie très morne, avant de perdre mon fils et franchir le grillage du squat voisin de chez-moi ? Je suis dans la rue derrière Muller qui avance sans sembler m’attendre. Je serre ma robe sur mon corps, les boutons du haut ont sauté. Il va si vite que j’ai peur de le reperdre une autre fois. Par chance, il se retourne, il semble apprécier de m’avoir retrouvée car il ralentit, me prend la main. Je baisse mes yeux tout en marchant, ma main est si petite dans sa grosse paluche. J’ignore où il m’entraîne, mais si je dois lui appartenir de nouveau, ce que j’aimerais le plus au monde en ce moment, sentir sa main calleuse sur mon sein, ce serait le plus doux des sévices. Je suis dans une sorte de bulle, plus rien ne compte sur la terre que ce sexe qui je l’espère va retrouver sa place en moi. Elles sont connes, ces putes, avoir peur d’être déformées par cette bite hors du commun. Mètre par mètre, je me rapproche de mon destin. Pour cela il passe sur l’arrière du casino abandonné qui ne s’avère pas si abandonné que ça. Des escaliers en pierre que nous descendons. Une porte de fer qui s’ouvre sans un bruit. - On graisse les gonds avec de l’huile tous les mois, viens entre. Je le suis, il ...