1. Will


    Datte: 23/07/2018, Catégories: ff, ffh, fbi, intermast, rasage, Oral fgode, fdanus, fsodo, attache, yeuxbandés,

    ... toucher ni de l’embrasser, malgré son désir qui doit être immense. Au moins a-t-elle l’occasion de regarder longuement mes trésors de femme, tout au long de la ligne magique qui sépare symétriquement les reliefs de mes fesses et ceux de ma vulve. Je la mouille de nouveau (extérieurement car à l’intérieur c’est très abondamment et naturellement mouillé), et je l’enduis longuement de savon moussant, puis je rase l’autre côté. Il reste à traiter le haut de sa touffe. Est-ce que j’enlève tout ou bien est-ce que j’en laisse un peu pour le décor ? Les deux solutions me plaisent autant. En enlevant tous les poils, la nudité sera parfaite, comme une statue, et les formes les plus cachées de Vally ne le seront plus. Par ailleurs, en laissant une petite touffe au-dessus de la vulve rasée, le regard est encore plus sollicité peut-être, et cela est très décoratif. Il faut que je décide : je vais essayer de lui laisser au-dessus quelques poils en forme de flèche pointée vers sa fente nue. Si je n’y arrive pas, il sera toujours temps de la raser entièrement. Avec beaucoup d’attention j’obtiens peu à peu ce que je veux tandis que les vibrations du rasoir, bien qu’évitant le contact direct avec le clitoris, ont tout de même des effets évidents sur elle, et aussi les contacts de mes mains qui sans arrêt tendent la peau ici, et là, glissant sur ses vallées intimes et humides. Je sais qu’elle fait d’énormes efforts pour empêcher son bassin d’entrer spontanément en mouvements voluptueux. Une ...
    ... dernière fois je l’essuie avec la douce éponge essorée, et demande à Will de nous débarrasser de la cuvette et du reste. Quand il revient de la salle de bain, il nous trouve engagées dans un fougueux soixante-neuf car j’ai écrasé ma vulve sur sa bouche tandis que ma langue prenait possession de son minou tout frais rasé. Le plaisir est intense pour nous deux, et nous gémissons l’une dans l’autre car nos doigts savent bien aussi se glisser où il faut. Après que nous avons bien joui, nous nous séparons, et je vais vite dans la salle de bain chercher un miroir pour qu’elle puisse se voir. Une des faces du miroir est grossissante, et ainsi elle peut admirer sa féminité vraiment nue, en gros, et en détail, comme elle ne s’est jamais vue. S’exposant à elle-même, elle s’expose aussi à nous, encore entrebâillée par nos ébats, humide, souple, prête encore à s’ouvrir plus, et cela se voit, cela se sent. D’ailleurs, presque malgré elle, ses doigts effleurent souvent le haut de sa fente, et esquissent un mouvement tournant. Peut-être est-ce pour entretenir son état voluptueux ou encore pour nous exciter plus, Will et moi, pour que nous la désirions encore, et encore. Probablement, ces hypothèses sont toutes vraies. Bien que discret, Will ne perd rien de nos gestes, ravi, et superbement raide, voyeur exalté par nos féminités amoureuses d’elles-mêmes. Un peu calmées, Vally et moi reprenons doucement nos caresses globales, imprécises. Nos langues se mélangent, se tètent, nous frottons nos ...
«12...678...22»