Will
Datte: 23/07/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
intermast,
rasage,
Oral
fgode,
fdanus,
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
... seins tandis que nos pubis se cherchent, et que nos mains étreignent mutuellement nos fesses, les ouvrant, les écartant pour montrer à Will nos diverses voies d’accès si désirables. La présence de Will ne nous laisse pas indifférentes. Je sens bien qu’elle et moi, nous faisons tout naturellement tout ce qu’il faut pour l’exciter un max. De ce fait, notre façon de faire l’amour, bien qu’extrêmement agréable, n’a pas la même spontanéité ni tout à fait la même fougue que lorsque nous étions seules. En fait nous faisons déjà l’amour à trois. Alors je décide de donner le ton. Je commence à la caresser comme seulement une femme peut le faire, et elle s’adapte aussitôt à ma manière. Nous nous effleurons, nos caresses sont à peine esquissées, sur tout le corps, elles changent toujours de localisation, nos baisers aussi, mais le tout avec une grâce extrême, une beauté et une sensualité confondantes, le tout comme dans un rêve au ralenti. Voilà Will, ce que c’est que l’amour entre deux très jolies femmes qui adorent ça. Plusieurs fois, dans notre élan, nous perdons de vue le voyeur ou plutôt nous oublions sa présence, alors que lui, ne perd certainement pas une miette du festin que nous lui offrons en nous l’offrant. Quand, essoufflée, heureuse, et alanguie, je consens à regarder dans sa direction, je constate qu’il a l’air de souffrir, il se tient les couilles et le sexe avec une expression douloureuse. Je m’émeus soudain, et me sens vraiment prête à m’ouvrir toute à son épieu, à ...
... l’accueillir au plus profond de ma féminité, à le mouiller, et à le réchauffer de mes douces, tendres, et inépuisables sécrétions. Mais en même temps, je brûle de l’exciter encore plus en jouant avec nos joujoux vibrants. Je choisis alors un moyen terme il faut que je le soulage sinon il va se trouver mal à force de nous désirer. Tandis que je suis en soixante-neuf au-dessus de ma belle amie, et face à lui, je lui fais signe d’approcher, ouvre la bouche que je lui désigne, et il y entre aussitôt tout naturellement avec un tel soupir que le quartier tout entier à dû se détendre soudain. Je le pompe, et un abondant liquide coule dans ma bouche. Ce n’est pas du sperme, mais ce fluide au goût très fin, très subtil qui est le lubrifiant des hommes. Parfois cependant il y a des coulées de sperme plus épaisses, au goût nettement plus marqué. Le pauvre ! Il me donne à boire de quoi lubrifier une demi-douzaine de jeunes vierges ! Mais je sens qu’il ne tiendra plus très longtemps. Son gros pénis tressaute dans ma bouche amoureuse et habile tandis qu’il gémit de plus en plus fort. Pendant ce temps, la délicieuse bouche de Vally poursuit sans relâche ses investigations dans mes orifices enfiévrés, et moi, j’ai deux doigts enfoncés en elle tandis que le pouce de la même main fait rouler son clitoris. Aussi j’éprouve un plaisir extrême d’être ainsi en prise avec ces deux êtres que je désire tant. Quand Will explose dans ma bouche, je fais l’effort de ne pas l’avaler, pour garder un maximum de ...