1. La rencontre


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, boitenuit,

    ... une brune de taille moyenne qui occupait une table un peu à l’écart dans un coin de la salle. Je m’approchai sans hâte. De ce que je pus voir, elle portait une espèce de pull de couleur sombre rehaussé de fils brillants qui scintillaient un peu sous la très faible luminosité de la pièce, et une jupe assez courte de la même couleur, en stretch. Visiblement, elle était plus âgée que la précédente. Je pouvais espérer qu’elle soit un peu plus stable dans ses choix et, comme elle était seule, qu’elle n’aurait pas de copine à raccompagner. En quelques secondes ma décision était prise et je l’invitai à danser. Elle accepta de suite avec un grand sourire, et se coula (c’est le mot qui convient) dans mes bras. Une paire de seins que je jugeai plutôt volumineuse s’écrasa contre ma poitrine. Elle était enveloppée d’un délicieux parfum, un truc qui devait coûter très cher. Plus petite que ma précédente cavalière, elle avait néanmoins des jambes assez longues, le ventre plat, ce qui lui permit de frotter son pubis contre ma braguette avec une insistance de bon aloi. Décidément, on continuait sur le même registre ! Ici, le temps était compté ; foin des approches préliminaires, on entrait de suite dans le vif du sujet. Sans plus d’hésitations qu’avec ma cavalière précédente, je commençai immédiatement à la peloter. Mais dès que j’empaumai un de ses seins, elle me prit la main et me la plaqua sur ses fesses. Qu’à cela ne tienne : je lâchai sa taille et j’empoignai son cul à deux mains ; ...
    ... elle se colla encore plus contre moi. Mon sexe, un instant calmé, s’était enflammé à nouveau grâce au frottement de son pubis. Elle ne pouvait ignorer que je bandais fermement. Poursuivant mon entreprise de séduction, je l’embrassai dans le cou, puis je fis jouer ma langue contre sa peau tendre. Sa réaction fut immédiate et brutale : elle se cambra en émettant une espèce de bruit de gorge proche du hennissement. En même temps, ses ongles s’enfoncèrent dans ma nuque. « Bon sang qu’elle est chaude… Du point de vue reprise, c’est une Ferrari comparée à la jeunette de tout à l’heure ! » La salle se vidait quelque peu, mais des couples restaient sur les banquettes. À voir leurs positions, ils devaient baiser ou se faire des choses du même style. L’obscurité toujours aussi profonde autorisait toutes les audaces, d’autant plus que tous étant bien occupés, personne ne matait personne. Je recommençai à l’embrasser dans le cou, et j’obtins le même résultat que la première fois. — Tu aimes ? demandai-je pour entamer la conversation. Pour toute réponse, elle se mit à m’embrasser avec fougue, faisant jouer sa langue dans ma bouche avec frénésie, et se frottant encore plus contre moi. Elle s’accrochait à mon cou en me massant la nuque. Mes deux mains descendirent le long de ses hanches et s’activèrent pour remonter la jupe sur ses fesses. Elle était assez serrée et ce ne fut pas simple, mais j’y parvins avec sa complicité. Lorsque ce ne fut plus qu’une ceinture autour de sa taille, j’investis ...
«12...456...9»