1. La rencontre


    Datte: 24/07/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, boitenuit,

    ... sa culotte de mes deux mains, l’une devant, l’autre derrière. Je caressai deux petites fesses peu musclées et même plutôt molles, ce que je ne déteste pas. Sa raie était peu profonde, et l’on accédait de suite à son intimité. Son pubis, comme souvent chez les femmes un peu mûres, était légèrement rembourré, la toison assez fournie (on n’était pas encore au temps des pubis sans poils) et sa fente ruisselait littéralement. J’y plongeai mes doigts avec délice, jouant avec le clitoris assez développé, pénétrant les chairs brûlantes et humides. À ce moment-là, quelqu’un tapa sur mon épaule. Je me redressai, prêt à envoyer promener le triste individu qui m’interrompait au milieu de mon exploration, et… — Ça y est, je suis revenue, me dit une voix que j’identifiai comme celle de ma première cavalière. Elle se tenait près de nous sans aucune gêne, pour autant que l’obscurité me permettait d’en juger. J’étais un peu interloqué, mais je décidai de lui répondre car elle ne semblait pas vouloir s’éloigner. — Trop tard, dis-je, je suis avec une autre cavalière.— Mais si tu veux je t’attends! La prochaine danse…— Non, pas la peine. Peut-être à une prochaine fois. Au revoir ! La situation avait quelque chose d’insolite car je continuais à investir avec passion les fesses et la chatte de ma cavalière qui haletait dans mon cou. Enfin, après une seconde d’hésitation, la jeune femme tourna les talons et nous laissa à nos occupations. C’est à ce moment-là que ma nouvelle compagne intervint : — ...
    ... Si vous voulez danser avec elle, je peux vous laisser.— Non, non, il n’en est pas question. Je reste avec t… avec vous. La situation était cocasse : j’avais ma main dans la culotte de la dame, et elle me vouvoyait. — Vous êtes gentil… Venez ! On va s’asseoir quelques minutes. Elle m’entraîna vers sa table. Elle s’installa sans hésitation sur la banquette et me fit asseoir près d’elle. Sitôt après, je voulus reprendre mes explorations, mais je constatai qu’elle avait profité du retour vers la table pour descendre sa jupe et se rajuster. — Attendez, dit-elle. Je vais nous commander un verre. Comme par enchantement, un garçon apparut dans la minute qui suivit. Elle commanda un scotch et je fis de même. — Vous êtes sûr que vous ne préférez pas rejoindre la jeune fille de tout à l’heure ? Elle semblait tenir à vous.— Non, non ! Vous me plaisez, je veux rester avec vous. Comment vous appelez-vous ?— Béatrice. Et vous ?— Marc.— Enchantée. Qui êtes-vous, Marc ?— Qui je suis ? Oh, c’est simple! J’ai 23 ans, je suis étudiant dans une école d’ingénieurs. Je travaille l’été pour me faire un peu d’argent. Avec un copain, nous faisons des contrôles sur un chantier. Nous logeons en bas, dans la vallée. Nous avions envie de nous distraire après la journée de travail. On nous a dit qu’ici il y avait des boîtes de nuit, alors nous sommes montés avec la ferme intention de nous amuser. Et vous ?— Écoutez, si vous voulez me faire plaisir, ne posez pas trop de questions ! Vous restez longtemps ?— ...
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