51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... disait-il, et j’en ai eu la preuve à la manière dont il a dragué ma femme dans notre chambre et comment il l’a baisée en lui faisant sentir la différence entre son zob et celui de son mari cocu. Et il nous a fait jouir tous les deux, chacun à sa manière. Aussi j’ai décidé de pardonner la faiblesse de ma femme et de la laisser jouir au maximum ce soir avec la bite d’Aziz, cette bite dont ma terma connaissait les grandes possibilités. Alors, je suis sorti pour rejoindre le logis d’Ali et laisser les amants déguster au maximum leurs plaisirs et se rassasier les sexes de jouissances. Je savais que ma femme ne pouvait pas enfanter, donc elle va certainement lui demander de tout éjaculer dans sa chatte, peut-être même plusieurs fois. Ali m’a questionné et je lui ai avoué ma défaite et il a exigé que je lui raconte tous les détails, ce que j’ai vu et entendu. Mon récit a du l’exciter car il a sorti son zob pour se masturber devant moi. Alors pour apaiser moi aussi, ma défaite et me soulager la terma, je lui demandé une petite faveur. Ainsi, il m’a donné du plaisir à la terma par deux fois, la première par derrière en levrette et la seconde, par devant, face à face. Et il a réussi à éjaculer les deux fois, quoique moyennement la deuxième fois. Mais il a réussi à me consoler et à atténuer ma nervosité. Je suis resté chez lui, dépassé minuit et j’avais envie d’y passer la nuit, non pour baiser mais juste pour ne par voir la tête victorieuse d’Aziz car je savais qu’il allait ...
... m’attendre pour m’enfoncer ma défaite. Mais la situation était telle que j’ai du rentrer à l’hôtel. Comme prévu, Aziz m’attendait à la réception, habillé en simple gandoura (robe masculine) sous laquelle il était nu, ça se voyait nettement car le tissu collait facilement à son corps. Il m’a demandé si j’avais tout vu : « wach sahbi ! choufoute m’ratak ! 9ahba kima n’ta ! » ( alors mon ami ! tu as vu ta femme ! une putain comme toi !) et en ricanant à son habitude et tenant son paquet sexuel à la main, il ajouta : « m’ratak chafat zébi ! m’ta’nane ! 7alate rajlay’ha ou souwat’ha ! nikit’ha rab3a marate ! »(ta femme a vu mon zob ! gonflé ! elle a ouvert ses cuisses et sa chatte ! je l’ai baisée quatre fois !). Et avec son rire soutenu, il continuait avec fiérté : « tayarat fiha thani rab3a marate ! » (j’ai aussi éjaculé en elle quatre fois ! ) et « 3amart’l’ha souwat’ha ! gatli ma tadhnach ! tayar ya zab lakhchine ! 3amarni ! » (je lui ai rempli la chatte ! elle m’a dit je ne peux pas enfanter ! éjacules ô gros zob ! remplit moi !). Je lui ai avoué que j’avais vu beaucoup mais je suis parti avant la fin. Il a ajouté : « moussat’li zébi bizaf ! tayarat al khamssa fi foum’ha ! charbatli koul e’za’n’na n’ta3i ! » (elle m’a beaucoup sucé ! et j’ai éjaculé la cinquième fois dans sa bouche ! elle a bu mon sperme ! ). Il voyait que ses paroles m’ont beaucoup touché, alors pour atténuer mon malheur, il m’a dit : « Anta sahbi ! a3’taytni teremtek ! nassi7ti layk ! ma tamane hach ! » ( tu es mon ...