1. 51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :


    Datte: 24/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... d’enfoncement se fait, et de cette manière violente, j’ai une bouffée de jouissances fulgurantes dans le cul, ce qui me poussait à crier haut mon plaisir. C’est que l’écartement brutal de mon anus et le glissement rapide de sa chair brulante à l’intérieur de mon cul me procurent un choc et une onde de jouissances dans tout le corps. Et je ne peux que hurler avec force et pousser mes reins vers le zob qui me pénètre pour l’aider à s’enfoncer encore plus, si possible. C’est automatique, involontaire, je n’y peux rien ! Mais Aziz aussi ressentait cela doublement, comme plaisir physique d‘enfoncement de sa bite et comme victoire du mâle qui fait hurler de jouissances sa victime, sa femelle largement ouverte à ses désirs. La preuve, c’est qu’il il ricanait bruyamment en poussant son zob et commençait à me traiter de tous les noms : « 9ahba ! manyouka ! terma skhouna ! zebi ga3rak ! etc .» ( putain ! enculée ! chaude terma ! défoncée par mon zob ! etc). Je dois avouer que j’appréciais autant son énorme bite que son langage ordurier, cochon, et les deux amplifiaient mes jouissances. Il avait raison, je suis certainement une vraie putain du cul et j’adorais me faire défoncer, sodomiser avec violences, surtout par une grosse bite bien dure et gonflée, un zob qui mérite bien son nom. Après un bon quart d’heure de vas et viens, tantôt follement lascifs pour que nous jouissons de chaque millimètre de frottement, tantôt brutaux et rapides et qui me faisaient pousser des cris de plaisir, ...
    ... d’être enculé, défoncé et possédé sans ménagement. Ainsi, mon cul leur appartenait, à lui et à son zob. Il me posséda longuement, mes jambes et cuisses autour de son torse et ses reins, l’aidant dans ses poussées violentes. Enfin, il éjacula par trois fois, seulement trois, mais ô combien brulantes et abondantes ! Ensuite, satisfait, il se leva pour aller se nettoyer, puis rejoindre notre ami Ali qui attendait dehors. Mais je connaissais la suite. Effectivement, deux minutes plus tard, c’est Ali qui entra dans la chambre, et je savais pourquoi. Aussi, je me suis nettoyé rapidement et repris ma position couché, le dos sur le lit et les jambes et cuisses très largement levées et ouvertes. Ali me regardait, les yeux arrondis, fixés sur mon anus encore brillant des restes de sperme, et assez ouvert, suite aux bombardements violents du zob de Aziz. Aussitôt, Ali enleva son pantalon et tenant son zob à la main, il plongea sur moi avec avidité. Son zob était droit, à l’horizontal, apparemment il était affamé de mon cul, alors, il le pointa sur mon anus. J’aurais voulu lui faire quelques sucettes pour le durcir encore plus, mais il me dit qu’il était pressé : « hatli 9arek ! fissa ! zébi ma g’darach yassa’na ! » (donnes moi ton cul ! vite ! mon zob ne peux plus attendre !). De toute façon, mon cul était bien lubrifié et largement ouvert. Il poussa et sa bite me pénétra facilement et, en vitesse elle s’enfonça jusqu’aux couilles qui ont claqué sur mes cuisses. Puis, il démarra sa danse ...
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