1. 51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :


    Datte: 24/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... sexuelle. Moi, je l’ai aidé dans ses mouvements de vas et viens, en tortillant parfois des fesses et en faisant de sussions à son zob avec l’intérieur de mon cul. Je connaissais cette technique qui échauffe toujours les zobs à l’intérieur. Ces sussions et aspirations du sphincter à sa bite augmentèrent tellement son plaisir qu’il commença tout de suite à hurler de jouissances. Et le résultat fut rapide, une dizaine seulement de ce genre de vas et viens aidés ont suffi pour l’amener au top. Il éjacula fort bien, par trois pulsations, chaudes, brèves, mais moins fortes et moins abondantes que celles d’Aziz. Il n’ya aucune comparaison entre eux. Ce dernier etait un monstre, un vrai mâle de la bite, puissante, violente et au jus abondant, mais follement agréable et jouissante pour une terma affamée, comme la mienne. Son jus est toujours aussi jouissant que les coups de sa grosse bite pieu. Puis, Ali se sépara de moi pour aller se laver. Dix minutes plus tard, on était tous les trois, assis dans la réception, sirotant nos thés comme si de rien n’était. Puis, je suis allé avec Ali, à son logis, pour apporter mes affaires. A notre retour, Aziz n’était pas à la réception. Ali, connaissant son ami, m’a conseillé d’aller voir ma femme, il était certain que j’y trouverais Aziz. Alarmé, j’ai couru vers la chambre et, effectivement, Aziz était là, discutant comme si c’était naturel, avec ma femme qui était couchée dans notre le lit, et heureusement, assez bien couverte. Elle fixait Aziz ...
    ... avec des yeux étonnés et me lança un regard de secours. Essayant de garder mon calme pour ne pas donner à la situation une charge agressive dans notre intimité. Tout de même, cet homme ne respectait rien. Debout devant la femme d’un autre, dans sa chambre, allongée et peut-être nue sous la couverture, c’était de la provocation. Peut-être parce que je lui avais offert mon cul plusieurs fois, qu’il pensait que je lui appartenais ainsi que ma femme, et il pense la posséder comme avec moi, sans tenir compte des sentiments d’autrui. Je n’ai rien dit, mais mon regard était assez éloquent, alors ma femme, voulant atténuer la gravité de la situation, m’a expliqué que notre hôtelier était un brave homme qui nous a invité ce soir à diner dans sa cuisine privée. Je n’ai pas voulu contrarier ma femme, mais j’ai poussé Aziz vers l’extérieur. Après, dans la réception, je l’ai sermonné d’avoir été voir ma femme sans ma permission ni ma présence. J’ai précisé que ma femme était une femme sérieuse et fidèle et trop gentille, c’est pourquoi elle n’a jamais deviné mes tendances de sodomie. Alors, Aziz m’a jeté un drôle de regard, presque étonné. Puis il m’a observé longuement et fixement un long moment, et enfin, il m’a expliqué : « Asma3 ya habibi ! anta ghalat ! martak tafham koulouch ! ghayr raha sakta ! » (écoutes mon ami ! tu te trompes ! ta femme comprend tout ! seulement elle se tait !). Ses mots m’ont surprit et il ajouta, sans me laisser lui répondre : « ki anta t’nik’ha, raha t’hissak ...
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