51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :
Datte: 24/07/2018,
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Dans la zone rouge,
... depuis cinq ans et cela doit certainement lui faire de l’effet. Effectivement, elle était assez excitée car elle lui a répondu avec une voix plus faible qu’avant, comme un murmure, comme une pensée intime : « rani n’chouf fik rajal fil 9imma ! 9awy ! » (je en vous un homme en forme ! puissant !) Aziz restait aux aguets et après un petit silence, ma femme, prise dans le jeu, osa ajouter : « ma kayane 7ata 7aja t’khoussouk ! ana n’dhoune 3andak al 9oudra bach …..tazawaj ! » ( vous ne manquez de rien ! moi je pense que vous avez la puissance pour …..vous marier !). Le silence qu’elle a eu après « 9oudra bach » (puissance pour) signifiait qu’elle pensait qu’il avait toute la puissance du zob pour baiser, mais elle a préféré le remplacer et terminer par « tazawaj » (te marier) c’est moins intime. La preuve, elle osa ajouter juste après : « tagdar 3ala wajab aroujli li m’ratou ! » ( vous avez la force du mâle pour son ép Ainsi ? les jeux sont faits, ma femme vient de sauter la barrière de la honte et de l’hésitation et elle parle directement de « mâle » et de « puissance » et tous les trois, nous avions compris et senti l’excitation qu’elle avait et cela commençait à me faire bander derrière la porte. J’étais sûr qu’Aziz bandait aussi, et depuis un bout de temps, et que son zob devait faire une belle bosse devant et gonfler nettement sa braguette. Alors, Aziz se rapprocha encore plus du lit et, arquant son corps, il poussa sa devanture vers ma femme de façon ostentatoire, comme ...
... pour offrir à ma femme, sa braguette et son zob qui formait un grand chapiteau. Et moi, je pouvais voir que ma femme fixait des yeux cette partie intime de Aziz et je sortis mon zob pour commencer à me branler. Aziz profita encore de la situation et du regard dirigé de ma femme pour lui dire : « rani grib natartag ! khalini n’foukou ! wa’nti ! kifach raki al a’n ? raki t’ssili ! » (je vais presque éclater ! laisses moi le délivrer ! et toi ! comment es tu maintenant ? tu mouilles ! ). Nous savions tous qu’il parlait de son zob gonflé et de la chatte de ma femme qui coulait de désir. Ma femme était assise sur le lit, en peignoir et robe de chambre, alors Aziz se pencha vers elle et lui chuchota quelque chose à l’oreille. J’ai vu qu’elle le regardait avec un léger sourire, presque étonnée. Puis il lui chuchota encore à l’oreille et il se redressa, mais en tenant son paquet sexuel à pleines mains et à cinq centimètres du nez de ma femme. Alors, elle se leva, semblant prendre une décision. Et d’un brusque mouvement d’épaules, elle jeta son peignoir par terre, et sa robe, libre, s’ouvrit largement, montrant ses beaux seins lourds et son slip noir serré et qui profilait nettement la fente de sa chatte. Comme elle était bien rasée, à son habitude, son mont de vénus gonflé amplifiait le dessin de sa chatte. Elle mouillait fort, c’est certain et se montrait à Aziz, sans hésitation, presque avec provocation. Son excitation la tenait complètement à sa merci et elle ne devait penser à rien ...