Le retour (1)
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
Zoophilie,
C’est déjà le matin. Assise sur le bord de mon lit, je m’arrache difficilement de mon sommeil. Il faut dire que la route a été longue (et chaude(1)) hier. Je me nomme Rachelle, j’ai 19 ans. Je suis plutôt timide et réservée, mais mes dernières rencontres m’ont désinhibée et j’ai maintenant l’envie irrésistible de vous narrer mes petites aventures. Commençons par cet été. Me voici de retour dans la maison familiale. Cela fait près de deux ans que je n’étais pas revenue. Une fois le BAC en poche, je suis partie en étude à 900 km de chez moi dans le seul établissement de France proposant la formation que je souhaitais. Il ne m’était pas facile de revenir pour simplement deux-trois jours. Et pendant les vacances, j’avais un petit job pour améliorer l’ordinaire. Deux ans d’études, mais aussi de fête. Je suis partie vierge de chez mes parents et me voici maintenant plutôt sexuellement aguerrie. J’ai quelques histoires intéressantes à vous raconter. Mais plus tard. Commençons par mon retour pendant ces vacances d’été. Je finis enfin par me lever, puis j’attrape, dans la pénombre de ma chambre, la première nuisette qui me tombe sous la main, dans l’armoire. Je me dirige péniblement vers la porte-fenêtre de ma chambre pour en ouvrir les grands volets. Une lumière intense m’éblouit, le soleil me semble déjà haut dans le ciel. Je me retourne pour regarder l’heure sur mon réveil-matin. Le temps que mes yeux fassent la mise au point : “bon sang !, déjà 11h15, je vais devoir me bouger ...
... moi”. Me trouvant toujours devant ma porte-fenêtre j’attends que mes yeux s’habituent à la lumière et fais deux pas sur la terrasse, déjà bien chauffée par le soleil. La maison est située sur un grand terrain en haut d’une petite colline. En bordure du terrain, nous avons un champ que mes parents louent à un voisin. En contrebas du champ, un petit ruisseau, puis de cet endroit, une nouvelle colline démarre : la parcelle du voisin. Ce paysage me fait penser à deux immenses seins, gentiment caressés par la brise. Ahhh, ce petit ruisseau, où j’aimais jouer régulièrement étant adolescente, m’attira inexorablement pour m’y rafraîchir les pieds. Allez!, j’ai encore le temps, je chausse une paire de sandales restée au pied de la piscine et j’y vais. Je traverse notre terrain et au moment où je suis arrivée dans le champ, je m’aperçois que ma nuisette est transparente. On distingue parfaitement au travers, mes adorables petits seins fermes, légèrement écartés et pourvus d’auréoles moyennes d’une couleur à peine plus sombre que celle de ma peau mate. Prenant le vent de face, le tissu frôle mes tétons qui se retrouvent ainsi légèrement gonflés. On discerne bien le dessin de mon entrejambe et les courbes de mon corps. De même que le léger tissu marque bien la raideur de mes tétons qui pointent généreusement. Heureusement, j’ai le pubis parfaitement et méticuleusement rasé, il me semble ainsi impossible de le distinguer en transparence. Bien que cette nuisette soit très fine et translucide, ...