Le retour (1)
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... il faudrait être suffisamment proche pour apercevoir la petite fente, parfaitement dessinée de mon sexe. Et puis, en pleine campagne, il n’y a personne pour m’apercevoir. J’entreprends donc de continuer jusqu’au ruisseau. Tout en marchant, la légère brise arrive à faire découvrir, de temps à autre, mes fesses, rondes et bien pommelées. Mes fesses sont bien rebondies et parfaitement bien proportionnées à ma ligne mince et galbée. Ma nuisette arrivant à la bordure de la pomme de mes fesses, il est facile de les apercevoir au plus petit soulèvement du tissu. J’avoue que je ne déteste pas sentir le vent fouetter mon corps au travers du mince tissu. Je sens maintenant mes tétons gonfler à leurs maximums, plaisir qui ne me laisse pas de marbre. Je ressens un picotement dans mon bas ventre, descendre jusqu’à ma vulve qui commence à s’humidifier. Arrivée au ruisseau je quitte mes sandales et plonge directement mes pieds dans l’eau. Quel plaisir. Des frissons parcourent mon corps et attisent la moiteur de mon sexe. Je me caresserai bien, mais il est temps de remonter, quand une lueur dorée attire mon regard dans le ruisseau : une chaînette dorée. Ma chaînette dorée ! Elle s’est certainement détachée de ma cheville droite lors de mon bain de pieds. Je me penche pour la récupérer, mais celle-ci reste coincée dans l’interstice d’une roche tapissant le fond du ruisseau. Je me positionne de meilleure manière pour pouvoir l’atteindre. A quatre pattes, le bras droit dans l’eau et la main ...
... gauche sur le rebord. Le vent vient flirter avec ma moulette parfaitement bien exposée. Décidément, les éléments ne m’aident pas à rester impassible. Mais concentrons-nous avant toute chose sur la récupération de ma chaîne, car malheureusement, c’est maintenant ma main, une fois le poignet rentré dans la cavité de la roche, qui ne veut plus sortir. Tout d’un coup, je ressens comme un vent plus chaud sur ma moulette. Certainement pas la brise. Je donne un coup de tête pour voir. Ah, c’est juste Goupille, le Beauceron des voisins. Un beau mâle d’au moins une quarantaine de kilos. Il m’a reniflé l’entrejambe comme certainement pour me dire bonjour à la manière des chiens, me provoquant quand même un sacré frisson qui ne fait qu’augmenter la lubrification de mon sexe. Mais? Si le toutou est là, j’espère que son maître n’est pas dans le coin pour me voir dans cette tenue et cette position? Je fais ce que je peux pour regarder aux alentours. Rien. Tout semble aller pour le mieux. Pendant ce temps là, Goupille, lui, me fait une fête mémorable, tournant et jappant autour de moi. Même si je n’aime pas trop cela, je ne peux que difficilement échapper à ses léchouilles qu’il veut me faire au visage. C’est alors qu’il retourne de nouveau derrière moi pour me sentir les fesses. “ Non, non Goupille, on ne sent pas le cul des filles, allez, pousse-toi”. favfrrum Je le pousse avec ma jambe pour qu’il aille sentir ailleurs. Je suis consciente que l’odeur qui doit être dégagée de mon sexe humide ...