Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... l’embuscade qui devra me laisser pantoise. Nous quittons les lieux toujours sans avoir davantage discuté de ce qui nous y a convoqués mais à peine sommes-nous dans l’ascenseur qu’il immobilise la cabine entre deux étages : Une envie folle me prend, jamais je n’ai désiré un baiser autant que celui-ci. Je lui donne ma bouche et me laisse aller contre lui. C’est étrange qu’il m’ait fallu si long détour pour rejoindre mon point de départ et je savoure ces retrouvailles avec les délices qui se doivent ; lui aussi semble-t-il. À en perdre haleine nous mêlons nos langues furieusement, indéfiniment. Un instant, nous nous séparons et il en profite, tout époumoné, pour me susurrer : — Vous avez bien dit que vous ferez parade de vos nouveaux talents dès que je le souhaiterais ? Je porte une main à sa braguette et, sans l’ouvrir, masse son membre viril à travers le tissu puis le tord énergiquement. — Quand tu voudras en effet, invite-moi donc au restaurant un jour prochain, je te les ferai apprécier. En bas, je reconnais la Multipla. Il m’explique que la tenue de motard ne visait qu’à me permettre son identification et me propose de me reconduire. J’hésite, suis tentée mais préfère en définitive ne pas improviser : — Cher Georges, quand tu voudras ne signifie pas n’importe quand. Je n’ai pas aujourd’hui l’élégance dont tu aimes qu’on t’entoure et c’est à mon tour de te surprendre, ce à quoi le cadre étriqué d’une Multipla ne convient pas. Enfin, un Alien sauvage ayant pourfendu mes ...
... vêtements, je n’ai quasiment plus rien à me mettre. Entendra qui saura ou plutôt voudra. Huit jours plus tard j’échoue à l’oral de mon admission quoiqu’étant classée première en liste supplémentaire, je quitte Albin dans les larmes et pour retomber dans les bras et sous la férule et la verve cynique de Georges. Deux jours encore et me parviennent costume et invitation. Le seigneur Georges semble disposé à de dispendieuse folie avec et pour sa maîtresse. À l’égal de la dernière fois tout y est, les gants en sus. L’ensemble se décline dans d’élégantes transparences blanches qui collent trop au corps pour que je puisse penser qu’il veuille me fantasmer en mariée. La soirée à laquelle il me convie se déroule pleine de grisantes complicités et il n’est aucune obligation de convoquer de quelconques rombières pour me dégeler. Je le provoque dans tous les registres et vais jusqu’à l’inviter à faire de l’un de ses doigts le thermomètre de mes humeurs en sondant ma culotte et en lui permettant de s’égarer un peu plus loin. Nous prenons ensuite une chambre qui par bonheur est pourvue d’un lit à barreau. J’ai en effet subtilisé les menottes que mon père dissimule derrière son comptoir pour immobiliser, en cas de nécessité, un client un peu trop aviné et turbulent dans l’attente de l’intervention de la gendarmerie. Je le repousse sur le lit et les extirpe de mon sac. Comme je le prévoyais, il me tend complaisamment ses poignets. J’en attache un, puis remontant ses bras vers la tête de lit, je ...