1. Les terres hédionnydes


    Datte: 25/07/2018, Catégories: ff, hh, religion, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation aventure, fantastiqu,

    ... nous permettre de désaltérer notre mule, ce serait parfait.— Ce devrait être possible. La femme regarda ensuite Thyris, de façon si intense que celle-ci en fut gênée. — Vous pouvez laisser vos enchantements un moment. Le maître est aux champs, et les enfants sont en instruction. Il n’y a que moi et deux servantes ici, on ne vous trahira pas. Thyris était estomaquée. — Comment le savez-vous ?— Ma mère était une aspirante vestale avant d’être enlevée pour être offerte à Hédion. Elle m’a appris une partie de son savoir.— Elle s’en est sortie vivante ?— De quoi ?— Du sacrifice, bien sûr. Sous les yeux étonnés des voyageurs, la jeune femme éclata de rire. — Vivante ! Bien sûr ! Elle ne semblait plus s’arrêter de rire. Elle regarda à nouveau Thyris, et se reprit. — C’est sa virginité qui a été offerte à Hédion, rien de plus. Comme celle de toutes les filles. Je comprends que ça vous choque, mais ce n’est pas mortel. Un peu impressionnant, c’est tout. Elle les jaugea du regard. — Si vous voulez, nous pouvons aller au bain, ça vous fera du bien, je pense. Thyris hocha la tête, plus choquée qu’elle ne voulait l’admettre. Alors que leur hôtesse les guidait vers la partie de la maison réservée aux ablutions, la jeune vestale demanda : — Resterez-vous avec nous ? Je voudrais que vous nous en disiez davantage. Elle se mordit violemment la lèvre. Partager un bain était courant entre vestales, mais cet usage était sans doute proscrit ici. Sans compter la présence de Fyrag. Pourtant la ...
    ... jeune femme ne fit pas de difficulté. La salle de bain n’était pas aussi luxueuse que celle que Thyris connaissait, mais fort agréable. Les murs étaient percés d’une multitude d’ouvertures qui laissaient passer la lumière, et un bassin large de deux mètres en occupait le centre. Quelques coffres et bancs en composaient le mobilier. Un léger courant animait l’eau que les deux aventuriers eurent la surprise de trouver agréablement chaude. Leur hôtesse se déshabilla sans plus de cérémonie. Alors que Fyrag, gêné, regardait ses pieds en couvrant son sexe de ses mains, Thyris la détaillait sans pudeur. Elle admira les larges tétons bruns, les seins écartés, agréablement lourds, le ventre légèrement rond, fendu d’un nombril comme une olive, la toison sombre et fournie, les cuisses pleines. La femme accrocha d’un geste souple sa longue chevelure au sommet de son crâne. Elle sourit. — J’ai oublié de me présenter. Je m’appelle Marganne Elle entra souplement dans l’eau. Fyrag la suivit maladroitement, en éclaboussant autour de lui. Une fois immergé jusqu’à la taille, il se détendit un peu. — Vous avez l’habitude de vous baigner à plusieurs ?— Bien sûr, la salle de bain est conçue pour ça.— Mais, objecta Thyris en entrant dans l’eau à son tour, je croyais que les femmes ici vivaient isolées des hommes.— Dans les maisons bourgeoises, c’est vrai. Mais dans les campagnes, la femme est aussi la gardienne du foyer. Je dois m’assurer de la bonne marche de tout, et ça implique de voir régulièrement ...
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