1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (5)


    Datte: 25/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... emportée par sa fougue, elle venait de m’avouer une partie de ses sentiments et s’en rendit compte instantanément. Elle vit volte-face devant l’énormité d’un tel aveu. — Oh Patrick…c’était purement physique et je ne vais pas tomber amoureuse de mon neveu, c’est déjà complétement fou ! Dit-elle en caressant mon sexe comme s’il lui appartenait. — Enfin c’était purement génial et surtout venant de toi. Avouai-je. — Quand je pense que je suis ta tante et maintenant je te suce, je me sens honteuse. Dit-elle prise de remords mais gardant son objet précieux au bord de ses lèvres. — Pas moi nous sommes adultes et nous prenons du plaisir et c’est réciproque, non ? La rassurai-je en caressant son menton pour l’inviter à poursuivre sa fellation. — Oui je dois avouer que c’est plutôt pas mal. Conclut-elle en faisant glisser mon sexe entre ses belles dents blanches. — Faudra recommencer ma belle Tatie, t’es trop douée ! — Attends, je suis un peu désorientée… En guise d’épilogue, elle termina en accolant ses lèvres contre mon gland pour y déposer une sorte de baiser…par tendresse ou par amour ? J’optais pour la deuxième supposition. En voyant avec quelle dextérité et quel plaisir elle m’avait sucé, j’en conclus définitivement que ma tante aimait le sexe, qu’elle avait été frustrée ou privée peu importe, de plaisir, de jouissance brute durant sa vie de femme jusqu’à présent. A moi de réparer le passé. Durant cet instant elle en oublia qu’elle était ma tante, mais la fin de notre ...
    ... discussion était révélatrice de ce sentiment de remords qu’elle s’accaparait, comme si c’était elle la principale investigatrice de notre relation incestueuse. Véronique se leva et la voir ainsi alimentait une fois de plus mon appétence pour ma tante, si désirable avec ce long pull. Une sorte de malaise s’emparait d’elle, un mal être palpable du fait de cet acte. Ma tante m’avait sucé comme une reine et je savais désormais que la perfection de la fellation existait. Mais sa fierté du moment disparaissait pour laisser place à un sentiment honteux, sans doute pensait-elle à ma mère. Je faisais comme si de rien n’était et une fois arrivés dans notre chambre, je me glissais sous le drap. C’était mon moment préféré depuis que je sautais ma tante. Je savourais l’instant de l’attendre dans le lit et de la savoir venir me rejoindre et qu’elle se glisse à son tour, nue près de moi. Combien de fois ai-je idéalisé ce moment où ma tante viendrait se mettre à poil dans mon lit… C’est bien ce qu’elle fit, mais pour m’avouer son désespoir en se penchant sur moi. — Oh Patrick…quand je pense à ce que l’on vient de faire, je n’ose pas y croire. Dit-elle perdue dans ses remords inutiles. Ma tante avait un besoin irrémédiable de tendresse, qu’elle se fasse plaindre mais de quoi ? Je me prêtais de bonne grâce à son jeu dans l’idée de la baiser à nouveau. Me la prendre par derrière fut envisagée mais vite oubliée, de crainte d’essuyer un refus. Ce serait pour plus tard, pensais-je. — Je me trouve moche et ...
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