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Séduction délicate de la soeur de ma mère (5)
Datte: 25/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... j’ai honte vis à vis de toi. Se lamenta-t-elle. — Tu ne penses pas ce que tu dis et tu sais très bien que tu me plais. Répondis-je en la serrant contre moi. — Si j’ai honte de te l’avoir fait. Je pense à Anne, ma sœur enfin ta mère et je n’arriverai plus à la regarder en face. — Véronique, tu m’as sucé avec plaisir, avoue-le. Lui demandai-je en caressant ses hanches et la base de ses fesses. — Oui Patrick, j’ai beaucoup aimé mais si c’était à refaire… — Tu le referais avec le même plaisir, tu adores m’en procurer et ça t’excite au fond de toi de me faire jouir. Tu me possèdes dans cette situation et nous sommes si proche désormais. Argumentai-je. — C’est vrai ce que tu dis et tu as raison, depuis tout à l’heure, je me sens encore mieux avec toi. Oh c’est fou avec toi et en plus j’ai adoré le faire parce que c’était toi, parce que tu es mon neveu… — Et moi j’étais aux anges que ce soit enfin ma belle Tatie qui me le fasse. Dis-je évitant le verbe sucer dans ma réponse. Elle était mélancolique et moi réaliste en voulant la baiser de nouveau. Tout en palpant sa poitrine, je reprenais cette conversation certes passionnante et ô combien constructive pour la suite. J’enchaînais en la complimentant. — Tu ne regrettes pas d’être venue et tu vois, je dois t’avouer que j’en oublie ton âge, tu te fonds dans le groupe et tu es si jeune d’esprit. — Tu es si gentille avec moi et je suis si bien quand tu es près de moi, comme en ce moment. Me confia-t-elle en se laissant caresser ...
... assidûment les seins. — Alors comme ça, on éprouve des sentiments envers son neveu. Ma belle Tatie serait-elle tombée amoureuse ? Terminai-je en glissant ma main entre ses cuisses. — Oh ne raconte ça à personne ! Et même si tu disais vrai, je ne te le dirai pas ! Et on me prendrait pour une folle. Murmura-t-elle. — Tu n’es pas folle et moi non plus. Et si je te dis que toi aussi tu m’as fait un bien fou, que je me sens heureux près de toi. Avouai-je en l’embrassant dans le cou. — Patrick, j’aime ce que tu fais. Soupira-t-elle en s’étirant sensuellement. — Tu n’es pas fatiguée on dirait ? Dis-je en parcourant ses lèvres intimes s’offrant naturellement. — Non ça va très bien. Me sourit-elle avec ses yeux de biche. Ma tante n’en demandait pas tant et se laissa embrasser d’une manière langoureuse. La tendresse disparaissait peu à peu pour faire place à un acte purement sexuel entre nous. Véronique avait soif de se faire baiser et oublia vite fait ses remords stupides. Je descendis au bas du lit en dépliant le drap. Comme dit précédemment lorsque j’attendais ma tante dans le lit, j’avais également un autre plaisir tout aussi personnel. Je me délectais de la voir à poil devant moi et de la savoir gênée de me dévoiler son intimité et cela devenait d’autant plus jouissif sachant que j’allais la baiser. C’était Véronique, la sœur de ma mère, celle sur laquelle j’avais tant fantasmée étant ado qui se retrouvait nue, belle, prête pour se faire baiser. — Patrick…Soupira-t-elle en gardant les ...