1. L'enfer n'est pas celui qu'on croit


    Datte: 25/07/2018, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, handicap, bizarre, sales, soubrette, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral fdanus, init, ecriv_f,

    ... coin cuisine. — Allez ! A moi, pouvez ben me l’dire, qu’vous-allez vous faire culbuter. Il a une grosse pignole, vot’ p’tit coquin ? Pour moi, c’en était trop et j’ai fondu en larmes. « Mais non, pauvre crétin, j’ai pas de p’tit coquin, c’est pour toi que je me suis faite belle ! Il est con, ce type, con, con, et CON. » Je fulminais à l’intérieur. J’ai pris ma tête entre mes mains, mon visage était ravagé par les sanglots. Je ne pouvais plus m’arrêter de pleurer, comme si toute la tristesse de la terre s’était abattue sur moi. Cela eut pour effet de lui clouer le bec. Quand j’ai rouvert les yeux, il n’en menait pas large. Comme quoi, il n’était peut-être pas si insensible que cela à mes sentiments personnels. L’idée de me faire honteusement baiser par ce vieil homme laid et vulgaire m’a à nouveau traversé l’esprit. Le fait qu’il se soit calmé m’avait complètement débridée et donné plein d’entrain. Je me sentais toute… émoustillée et toute ragaillardie. Je n’ai même pas pris la peine de sécher les larmes qui roulaient en abondance sur mes joues. Je me sentais bien, franchement bien, beaucoup mieux que depuis des semaines et sûrement même que depuis des mois. Le fait de savoir que j’allais faire une grosse bêtise, que c’était mon choix perso, que j’étais capable d’aller jusqu’au bout des choses : briser la coque de ce monde dans lequel je me sentais enfermée, confinée, prisonnière et finalement esclave… « En définitive, je n’aurai peut-être pas besoin de tuer mon mari. » ...
    ... Cette curieuse idée m’a traversé l’esprit… en référence à ce jour où, alors que j’étais en cuisine avec un grand couteau, en train de découper un rôti, j’avais eu des impulsions de meurtre. Mon mari était passé par là, je le voyais de dos. J’avais eu envie de m’avancer vers lui et de planter le couteau dedans… Par la suite, j’avais tout raconté à ma psychiatre qui m’avait expliqué que c’étaitnormal, que l’on avait tous envie, parfois, de tuer des proches… Sauf que moi, je revoyais clairement le moment précis où j’avais eu l’intention de le donner, ce coup de couteau. Et pas uniquement l’intention, car j’avais également déjà amorcé le geste ! Pour résumer : j’avais eu envie de tuer mon mari, et maintenant j’allais me donner corps et âme à un vieux cochon. Mais tout étaitnormal, parfaitement normal, la petite vie ordinaire d’une femme tout ce qu’il y a de plusnormal. Ainsi soit-il ! Je ne savais donc plus trop ce que je faisais, ou alors je ne le savais que trop bien. Mes seins étaient dardés, durs comme l’envie d’être possédée, durs comme l’envie de jouir. J’ai soulevé ma jupe, franchement, sans fioriture, sans chichi inutile… — Jolie culotte ! a-t-il commenté très sobrement. Culotte que j’ai aussitôt écartée pour lui montrer mon sexe. Il fallait voir comme il me regardait : j’avais vaincu la bête, maintenant hypnotisée par mon précieux joyau. Mais plus j’en faisais et plus j’avais envie d’en faire. Alors je me suis approchée de lui pour me mettre à sa portée, lançant clairement ...
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