1. vive les fêtes ratées (3)


    Datte: 26/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sur sa cuisse. Plutôt que d’essayer de regarder par-dessus son épaule, je détaillais son dos et la chute de ses reins sur moi, tandis que des musiques de plus ou moins bon goût et des grognements d’accouplement s’échappaient faiblement des enceintes. A l’oreille, je déduisis qu’elle passait de vidéo en vidéo, pour revenir sur l’une de celles que j’avais déniché plus tôt. Il y avait des ordres mêlés d’insultes, des claquements de cuir. J’en conclus qu’elle avait retrouvé la lesbienne dominatrice qui offrait son esclave aux deux types. J’avais l’impression que sa main posée sur sa cuisse n’était plus aussi immobile et qu’elle effleurait son ventre, un geste imperceptible qui me poussa - tout doucement - à bouger sous ma sœur. Comme un enfant qui fait une bêtise et craint de se faire découvrir, tout juste je me permis de contracter mon périnée, faisant se redresser mon sexe de lui-même. Ainsi en elle, je pouvais sentir l’intérieur de sa chatte et percevais les vibrations, les sensations de mouvement avec une grande acuité. Le moindre petit mouvement était une victoire et un surcroît d’excitation. La pensée devait être partagée car Hélène, même si elle semblait toujours absorbée par l’écran, commença à m’imiter et à faire jouer ses muscles de ses cuisses et de son ventre pour provoquer des frottements. Avec la même lenteur et prudence, mes mains remontèrent peu à peu, et retrouvèrent ses hanches du bout des doigts. Elle ne dit rien, mais ses épaules se voutèrent et je sentis ...
    ... comme une série de contraction en son sexe. Alors que je sentais distinctement sa main s’activer sur son mont de vénus, touchant parfois mon propre sexe au passage, je finis par imprimer un rythme très lent et une ampleur limitée à ma pénétration. Comme moi, elle ne pouvait s’empêcher de soupirer de plus en plus fort et peinait à maintenir cette fausse immobilité. Elle tremblait et dut s’y reprendre à deux fois avant de réussir à reculer la vidéo sur ce qui devait être un de ses passages préférés. La différence entre notre situation, presque statique et silencieuse, et la baise sauvage du film porno me frappa particulièrement alors que j’écoutais les exhortations -en anglais évidemment - de l’actrice à ses homologues masculins de foutre plus profondément et violemment sa victime. Les enceintes étaient réglées au minimum, mais nous entendions tout de même les paroles et les gémissements, le bruit de la chair sur la chair. Mes mains se crispèrent sur ses hanches et bientôt, les mouvements de bassins d’Hélène se firent de plus en plus décidés. Ma sœur se cambrait pour chercher chaque centimètre de ma verge et pour ma part je lançais mon bassin pour l’emplir du mieux possible. Parmi des petits cris et des bruits de gorge, elle me balbutia de continuer de la prendre aussi fort, semblant me traduire les paroles du film. Je n’avais pas besoin toutefois qu’elle me le demande, puisque j’étais passé à un état d’excitation profond, où je sentais qu’il m’était nécessaire et attendu que je me ...
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