vive les fêtes ratées (3)
Datte: 26/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... laisse aller. Entre mes doigts agrippés, je voyais la peau d’Hélène blanchir sous ma poigne et je remontais une main pour me saisir d’un de ses seins. Bientôt, elle tressautait entre mes bras, et je dus faire bien des efforts pour garder le contrôle de notre alignement et de pouvoir continuer à la saillir. Cette lutte amoureuse m’épargna de venir trop vite d’ailleurs, car ma sœur ne retenait plus sa voix et son arrivée à la jouissance était contagieuse. Quittant son sein pour sa gorge, l’arrivée de ma main modula un instant ses cris et j’adorai la sensation de son cou dans ma paume, si doux et si fragile, contrepoint à sa chatte que mon sexe rudoyait. J’avais l’impression de sentir les pulsations de son sang qui battait au même tempo frénétique que le mien, une cadence qui s’emballait de plus en plus, rythmée par le claquement de ses fesses sur mon aine. Ma sœur prit cette main et la porta à ses lèvres, pour en sucer avidement les doigts… et finir par les mordre alors qu’elle poussa un long gémissement. Cette attaque féroce mit un coup d’arrêt net à ma propre envolée, même si le cocktail de plaisir et de douleur avait un goût vif pas forcément déplaisant. Je retirais ma main de sa bouche tandis qu’elle redescendait peu à peu sur terre et reprenait son souffle. Encore sous le coup de la surprise, je regardais mon index et mon majeur marquées par les dents d’Hélène : on voyait distinctement l’empreinte violacée de ses incisives, canines et molaires. A moi de me venger : je ...
... repris ses hanches à deux mains, bien décidé à jouir aussi. Je recommençais à aller et venir en elle, mais encore groggy de son orgasme, mon ainée ne m’aidait plus. Elle semblait même se dérober un peu à mes assauts. — Hé, ce n’est pas juste ! , je grognais. — La vie n’est pas juste, me répondit-elle d’une voix dont le tranchant était émoussé par l’épuisement. Mais… tu fais un peu ta salope, là !…, je me retrouvais à dire. La chienne, même, vu comment tu m’as mordu ! Hélène ricana, mais se cambra de nouveau en posant ses coudes sur le bureau, dans une pose plus lascive et offerte. Tu préfères ce genre de chienne ? une chienne en chaleur plutôt qu’une chienne de garde ? Je profitais de cette position pour faire de nouveau coulisser mon sexe en elle, émoustillé par le vocabulaire qui semblait m’inciter à la débauche. Par jeu, mais aussi parce que j’avais senti dans sa voix un peu de tension alors qu’elle utilisait ces mots crus, je continuais dans la même veine, lui flattant les flancs de quelques caresses : -Bonne chienne, c’est mieux. Tu vas avoir ta récompense. Tu ne voudrais pas être punie, non ? — Non, je ne veux pas être punie… , dit-elle en accentuant ses mouvements. Sa position appuyée sur le bureau commençait à faire reculer mon fauteuil à roulette, aussi je me relevais totalement, nous faisant nous retrouver dans la figure si justement nommée de levrette. — On va voir si tu ne vas pas être punie, chienne. Ouvre-toi bien. Sans répondre, Hélène allongea son buste plus ...