1. Liaisons dangereuses (28)


    Datte: 27/07/2018, Catégories: Hétéro

    ... douceur. Mais comment diable fait-elle pour donner à ce point l’impression que ce ne sont pas deux, mais une multitude de mains qui s’affairent sur moi... Marion finit par briser le silence. — J’aime beaucoup être avec toi aussi, me dit-elle tout bas. J’ouvre les yeux, le visage de Marion est au-dessus du mien, ses doigts s’attardent dans mon cou. Sa peau a une teinte légèrement rougeâtre et elle me fixe. Elle me sourit, toujours de la même et exquise manière. Je lui rends son sourire malgré le fait que j’ai presque honte de le faire tant le mien doit paraître bien fade par rapport au sien. Elle arrête de me masser et pose ses mains des deux côtés de ma tête. Elle me regarde toujours droit dans les yeux, puis elle se penche vers moi pour venir m’embrasser. Je déguste ses lèvres aussi douces que ses doigts, puis sa langue, légère et délicate, vient se mêler à la mienne. Je passe une de mes mains derrière sa tête pour lui caresser les cheveux et de son côté, elle se met à me caresser le torse, ses doigts légèrement huilés glissant sur ma peau. Je ne me suis même pas aperçu que je bandais jusqu’à ce qu’elle vienne passer une de ses mains sur mon pantalon. À ce moment là, j’ai pu ressentir la vive tension qui régnait dans mon boxer. Marion relève son visage de quelques centimètres. — J’ai envie de toi Florian, maintenant, me dit-elle en chuchotant ; — Ça peut attendre qu’on soit chez moi ? — Ça va être dur ; — Ça l’est déjà pour moi, et à tous les niveaux... — Je l’ai bien ...
    ... senti. Si on fait pas de bruit, on peut peut-être... Me dit-elle en faisant partir sa main vers mon entrejambe ; — Non, dis-je en l’arrêtant, C’est très tentant mais on a promis à Denise de rester sage, et puis je veux pouvoir profiter de toi sans avoir à me retenir de quoi que ce soit ; — Me dire ça n’est pas de nature à me calmer tu sais... — Je sais, moi non plus d’ailleurs, raison de plus pour se dépêcher. Ni une ni deux, Marion se redresse et va se laver les mains pendant que je me rhabille rapidement. Elle va récupérer ses affaires et nous prenons ensemble la direction de la sortie. Denise, toujours à son comptoir, nous regarde traverser l’accueil d’un pas pressé. — Alors, ça a été ? Nous lance-t-elle ; — Oui, super ! Répond Marion, À demain Denise ! — Bye Denise, lui dis-je en lui faisant un signe de la main ; — Euh, ben, bonne soirée alors, répond Denise en nous suivant du regard, surprise que l’on file aussi rapidement. Nul doute qu’elle aura bien vite deviné ce qui nous pousse à partir aussi vite ! Je roule à une bonne allure, l’ambiance dans l’habitacle est lourde mais sans être malaisante, excitante plutôt. Je vais poser ma main sur la cuisse de Marion, assise à mes côtés, pour la caresser. Je l’entoure de ma main, allant jusqu’à toucher son sexe au travers de son legging, appuyant le contact avec celui-ci. Marion a les jambes légèrement écartées, je la regarde en tournant un peu la tête, elle fixe ses yeux droit devant elle, se mordillant doucement les lèvres en ...
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