1. Liaisons dangereuses (28)


    Datte: 27/07/2018, Catégories: Hétéro

    ... respirant profondément. Une de ses mains finit par rejoindre la mienne, toujours sur sa cuisse, accompagnant mes caresses. On finit par arriver en bas de mon immeuble et manque de bol, nous ne sommes pas seuls dans l’ascenseur, du coup, obligé de rester sage ! Néanmoins, je laisse ma main traîner sur son cul, effleurant son vêtement du bout des doigts. Subtilement, elle ondule les hanches d’excitation, bouillonnant sans doute comme moi. Mon sexe n’en peut plus d’être comprimé par mes habits depuis que Marion a commencé à me masser tout à l’heure. Une fois l’ascenseur arrivé à destination, on en sort à toute vitesse et dès que nous arrivons devant ma porte, à peine ai-je eu le temps de mettre ma clef dans la serrure que Marion me saute dessus, me faisant reculer de quelques pas. Elle s’accroche à mon cou et enroule ses jambes autour de mes hanches, enserrant fermement ses cuisses autour de moi, et elle se met à m’embrasser à pleine bouche. Je passe une de mes mains sous ses fesses et de l’autre, en tâtonnant, j’arrive à tourner la clef pour déverrouiller la porte. On s’engouffre dans l’appartement, Marion toujours agrippée à moi telle une huître sur son rocher et nous continuons à nous embrasser fougueusement. Je fais claquer la porte puis me dirige vers la table sur laquelle je la pose après avoir bousculé deux chaises. Une fois installée, elle relâche l’étreinte de ses bras et de ses jambes et vient immédiatement plonger ses mains vers la ceinture de mon pantalon pour la ...
    ... défaire. Malgré l’excitation, ses gestes sont rapides et précis et mon vêtement glisse rapidement le long de mes jambes, suivi de près par mon boxer. Elle attrape ma queue, me branlant avec ferveur alors qu’elle se trémousse sur la table afin que je puisse enlever son legging. Il ne résiste pas longtemps et finit par voler à travers la pièce, tout comme son string dont les traces d’humidité trahissent l’effervescence de sa chatte. D’un geste, je présente mon gland gonflé de plaisir à l’entrée son minou trempé et je commence à la pénétrer, ce qui nous arrache un long gémissement de contentement tant cette sensation, nous l’attendions tout deux avec impatience, elle pour enfin combler le besoin impérieux que je la prenne qui couvait en elle depuis un moment, et moi pour pouvoir profiter de la chaleur de son intimité dont je n’ai pas pu me repaître comme je le voulais l’autre jour. À partir du moment où je suis en elle, la frénésie qui nous a guidés jusqu’ici se calme un peu. Je la pénètre, lentement, faisant aller et venir mon sexe en elle, dégustant la chaleur et l’étroitesse de sa petite chatte. Contrairement à l’autre fois, je suis bien plus serein et j’ai un meilleur contrôle sur moi-même malgré l’excitation que je ressens. J’ai eu le temps de me préparer mentalement et je me sens en mesure de l’honorer comme il se doit, sans cloison entre nous, sans avoir besoin de rester discret, je l’ai pour moi et pour moi seul, enfin ! Ses jambes croisées dans mon dos, je me mets à la ...
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