1. Instantanés (5)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Trash,

    ... trou de l’amirale remportent un vif succès, le fondement du commandant fait effectivement quelques heureux et rehausse considérablement sa côte de popularité dans la communauté gay du bord. On défonce et on éjacule à tour de bras, les tirs nourris et gluants s’enchaînent comme aux grandes manoeuvres, dans l’ordre, la discipline et la lubricité exacerbée. L’une n’empêchant pas les autres. L’un des hommes a tendu son fusil d’assaut à l’amirale pour qu’elle l’empoigne et pose en le regardant se masturber, l’air déterminé, telle une implacable amazone à moitié dénudée et prête à faire couler le sang. Elle s’est prise au jeu, dégageant ses seins de sa chemise pour les plaquer sur l’arme, suçant le canon et frottant la crosse contre sa chatte poisseuse. Jouissant sur le fusil et sur la poitrine qui l’étreignait comme il aurait douché les pages d’un magazine coquin, il venait d’ouvrir la voie à ceux qui n’auraient ni pensé, ni osé pénétrer l’intimité d’une femme avec un godemichet de gros calibre fourni par l’armurerie du bâtiment. Chaque nouvelle idée motive de nouvelles inspirations, pimentant le jeu pervers qui dégénère, orgasme après orgasme. Et l’épuisant défilé touche à sa fin... L’ensemble de l’équipage a repris une posture adaptée, figé au garde-à-vous, attendant la conclusion de l’incroyable cérémonie ainsi que l’ordre qui l’enverra reprendre sa routine dévouée. Alanguie ...
    ... dans le canapé, l’amirale semble enfin pouvoir souffler et profiter du repos de la guerrière. Elle se laisse aller, assise entre le commissaire de bord et la chef des transmissions qui se sont installées à quatre pattes à ses côtés pour lécher le glaçage de semence masculine qui recouvre sa poitrine. Un sein et son téton pour chacune. Leurs uniformes sont toujours parfaitement ajustés, comme l’exigent les circonstances. Leurs képis et leurs impeccables chignons châtains s’agitent sur la tenue souillée et débraillée de l’invitée d’honneur dont la longue chevelure blonde flotte dans le vent chargé d’embruns. Elle leur rend la politesse en faisant pénétrer avec douceur le majeur de ses deux mains toujours gantées dans leurs vagins grands ouverts. Outre les jupes troussées dévoilant leurs jolis postérieurs et le haut de leurs bas, les plugs noirs qui obstruent leurs anus restent la principale entorse à la bienséance. Prolongés par une hampe au bout de laquelle flottent les couleurs de la nation, ils confèrent à leurs derrières la singulière fonction de porte-drapeau. L’amirale abandonne la chatte de la commissaire de bord, retirant la dextre glissée entre ses jambes pour la porter à son front et rendre leur salut aux officiers qui viennent devant elle, l’un après l’autre, terminer au garde-à-vous leur énergique masturbation. Et l’asperger de leurs hommages les plus respectueux. 
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