Pauline - années adulte (17)
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Chapitre 17 — Qu’est-ce que tu fous chez moi ? T’es qui toi ? — … Pardon monsieur… Je… Et j’ai tenté de m’enfuir. Mais l’homme m’attrapa par les cheveux et me balança à l’autre bout de la pièce. J’ai essayé de me relever, mais il me maintenait au le sol en appuyant son pied sur mon dos. — Alors ? Qu’est-ce que tu fous chez moi ? — … Je cherchais juste quelque chose à manger. — Dans mon bureau ? T’espérais quoi ? Trouver une barre de céréale cachée ? Tu n’as pas pensé à regarder dans la cuisine plutôt ? — S’il vous plait, laissez-moi partir… Vous allez appeler la police ? — Possible. Avant, tu vas répondre à quelques questions. D’abord, comment as-tu réussi à entrer ? — … Par la terrasse. — Tu veux me faire croire que tu as grimpé sept étages sans qu’on te voie ?... Et la porte fenêtre ? — La porte fenêtre était ouverte... — Putain de femme de ménage à la con ! Elle vient de perdre son boulot... Bouge pas de là toi. Il retira la pression. J’en ai profité pour essayer de me relever, mais je reçus un coup de pied dans le ventre qui me coupa la respiration. « Je t’ai dit de ne pas bouger ! ». Même si j’en avais envie, je n’y arrivais plus. Il revint sur moi et me menotta les poignets dans le dos. J’avais beau crier, ça ne servait à rien. Il me tira ensuite par les cheveux jusque dans le salon. Je sanglotais, j’avais la peur de ma vie. L’homme tournait autour de moi comme un rapace observant sa proie — T’as faim ? — Oui, monsieur. — Mais t’es pas venue pour me voler de la ...
... bouffe. — … Je cherchais quelques billets, c’est tout. Je me disais que comme vous deviez être riche… — Tu veux combien ? 1000 ? 2000 ? 5000 ? — Monsieur ?... Vous me donneriez tout cet argent ? — Rien n’est gratuit. A part l’odeur que tu dégages, t’es plutôt canon. — … Je ne suis pas une prostituée. — Vraiment ? Et contre 15 000 ? N’essaie pas de marchander plus ! — Je vous l’ai dit, je ne suis pas une prostituée. — Mais tu es rentrée chez moi… Il se mit sur moi, me bloqua pour m’empêcher de me débattre pendant qu’il baissait mon pantalon. J’avais si peur, je n’arrivais même plus à crier. Il me lâcha, j’avais le pantalon et ma culotte descendus jusqu’aux chevilles. Je ne bougeais pas, j’étais trop terrorisée. Entre deux sanglots, je lui ai demandé — Vous allez me violer ? — Te violer ? Je n’aime que les salopes qui me supplient de les baiser. Je vais te punir. Il retira la ceinture de son pantalon, la leva au-dessus de sa tête, et d’un coup sec… Mes fesses brûlaient. La douleur était atroce. Il relava à nouveau sa ceinture bien haut, j’ai fermé les yeux, j’ai crié lorsque le cuir fouetta à nouveau ma peau. Ça me faisait mal, mais je sentais en plus de drôles de picotements provenant du bas de mon ventre. Ils n’avaient rien à voir avec les coups que je recevais. Je les avais souvent eus lorsque j’étais en présence de mon père. Trois jours avant, ils s’étaient également manifestés lorsque j’étais poursuivie pas des policiers. Ces derniers m’avaient surprise en train de voler un ...