1. Pauline - années adulte (17)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... saucisson et deux pommes sur un marché. J’avais couru, j’avais réussi à leur échapper en glissant sous la porte qui se refermait du parking d’un immeuble. Après m’être assurée que j’étais en sécurité, laissant retomber l’adrénaline, ces picotements apparurent de façon très forte. Ça m’arrivait souvent d’en avoir, et je savais qu’il fallait que je glisse une main dans mon pantalon et que je caresse ma minette énergiquement pour les calmer, m’offrant à chaque fois une étrange et agréable décharge électrique. Je venais de me faire fouetter dix fois. Il me détacha, mes sanglots se calmaient, mes fesses brulaient, et ces picotements étaient d’une puissance bien au-dessus de d’habitude. Je reprenais doucement mes esprits. L’homme s’était assis sur un canapé, avait sorti d’un sac de la nourriture japonaise qu’il mangeait tout en me fixant. Mon ventre se mit à grogner… J’avais si faim. — Bien, tu peux partir maintenant, nous sommes quittes. — … S’il vous en reste un peu… — Tu as si faim que ça ? — Oui monsieur. Je n’ai rien mangé depuis deux jours. — Ce n’est pas mon problème ça. Tu me donnes quoi en échange ? — … Mais, je n’ai rien… Je vous l’ai dit, je ne fais pas de choses sexuelles. — Tu t’appelles comment ? — … Charline. — Tu as quel âge ? — 21 ans. — Je veux te voir à poil. Ce n’est pas un acte sexuel ça. Alors ? — … D’accord… Et je pourrais manger ? Seuls mes parents m’avaient déjà vue nue, c’était il y a bien longtemps. J’avais accepté à cause de cette faim, peut-être ...
    ... aussi à cause de ces picotements qui ne se calmaient pas. J’ai ainsi retiré mes chaussures et mes chaussettes, suivi de mon pantalon et de ma culotte. Je me sentais terriblement honteuse, et les picotements s’intensifiaient de plus en plus. Ma veste, puis mon sweet… mon débardeur… J’étais maintenant nue, à genoux sur le sol en cachant ma poitrine avec mes bras, la tête baissée. « Lève-toi ! ». J’ai obéi, gardant la tête baissée et les bras croisés devant ma poitrine. « Ne joue pas ta timide ! Regarde-moi et mets tes mains derrière la tête ». Ces picotements encore plus intenses en entendant ça… J’hésitais… Et si je me rhabillais et que je partais tout simplement ?… J’avais faim… J’entendais la pluie battre fortement contre les fenêtres… « Tu attends quoi ? ». J’ai donc lâché ma poitrine, j’ai mis doucement mes mains derrière la tête, puis j’ai relevé mon visage, mais j’avais dû mal à le regarder. Jamais de ma vie je ne m’étais sentie aussi honteuse. L’homme sourit, mais pas de façon gentille. Il devait se sentir victorieux de ce qu’il me faisait faire… Ces picotements si intenses… Il s’approcha en tenant entre deux baguettes du poisson cru. J’ai ouvert la bouche… Mon dieu, ça faisait du bien, c’était si bon. J’en aurai manger des tonnes. — Tu pues vraiment. T’es crasseuse de partout. Tu peux aller te prendre une douche. — … Je peux la prendre après manger… — Tu la prends maintenant, tu me gâches mon repas. Profites-en pour t’enlever tous ces poils. Je ne supporte pas les filles ...