1. Avec des amies comme ça… (17)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Trash,

    ... de me trouver sous un simple tuyau d’arrosage au sortir de l’hiver. « Tourne-toi, salope. » Je me retournais une fois de plus sur le dos. Le flot d’eau me faisait frissonner. Puis je le sentis à nouveau passer sous ma jupe. Le jet frappa ma chatte me laissant confondu par cette sensation aussi violente de lavement intime. « Je crois que c’est bon, y a plus de bulles. — Alors je passe à... voyons… c’est lustrage. On lui en met ? — Euh… Ça ne peut pas lui faire de mal, je suppose, vas-y ! » L’eau qui arriva alors était bien plus chimique qu’auparavant. Je fermais bien la bouche pour ne pas avaler des saloperies de produits toxiques. « N’oublie pas de lui en mettre un bon coup sur la chatte ! Qu’elle soit bien lubrifiée... » Victoria me passa le tuyau sous ma jupe me trempant les parties intimes de la solution. Puis elle m’ordonna de me relever. « Retire vite ton chemiser, et ton soutif ! Dépêche-toi ! Il y a plus beaucoup de temps au compteur. » Voulant à tout prix lui plaire, je faisais le strip-tease le plus rapide de ma vie. En moins de trente secondes, je me trouvais les nichons à l’air. Victoria m’aspergea alors de la solution lustrante. « Je crois que ça marche bien, elle semble brillante ! Ses tétons pointent joliment aussi ! — Pas étonnant, c’est sans doute une exhibitionniste... Bon, je passe à la dernière partie, c’est "finition", ça va la rincer ! — Vas-y… » Victoria pointa de nouveau le tuyau vers moi, mais aucun liquide n’en sortait. zwpzeeay « Ah, l’eau s’est ...
    ... arrêtée. Je crois qu’on a dépassé le temps limite. — Bon, alors on ferait mieux de se casser, je vois un mec se pointer. » Me tenant par le bras, Victoria me releva et me donna un coup sur les fesses pour me mettre en train. Le type qui venait trottait vers nous en criant : « Bande de p’tites connes ! Qu’est-ce que vous foutez ! C’est pas pour jouer ici ! » Je me mettais à courir à leur suite, ayant juste le temps d’attraper mon chemisier blanc. Mais c’était loin d’être facile, mes vêtements étaient trempés, et après le nettoyage à eau froide j’étais frigorifié... Sans compter la drogue qui coulait dans mes veines, je ne me sentais pas bien ferme sur mes jambes. Bon an mal an, on courut un bon deux cents mètres pendant lesquels mes nichons ballottaient à la vue de toute la rue. Heureusement le gérant de la station ne semblait pas vouloir nous poursuivre. L’on finit par s’arrêter au détour d’une rue, et Hélène m’inspecta de la tête au pied, allant jusqu’à soulever ma jupe pour me renifler l’abricot. J’en profitais pour remettre mon chemiser. Même s’il était trempé, c’était mieux que de laisser voir mes seins à toute la ville. Sauf que, vu comme mon chemisier blanc était trempé, l’on pouvait voir ma poitrine bien dressée en transparence. Me penchant sur ma jupe humide, je me rendais compte qu’on pouvait tout aussi bien voir l’absence de culotte. Comme la voie était assez passante, je voyais tout un tas d’hommes ralentir pour me dévisager et admirer mes formes. L’un d’eux me demanda ...
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